Guillaume Lemasson nous a quitté


Guillaume Lemasson nous a quitté le 23 mars 2011.


La cérémonie d'adieu aura lieu le 1er avril à 13h30 au crématorium du Père Lachaise : 71, rue des Rondeaux 75020 Paris - Métro: Gambetta.

Elle sera suivie de l'inhumation au cimetière du Montparnasse à 17h15 3, boulevard Edgar Quinet 75014 Paris - Métro : Edgar Quinet


Formé en danse classique au CNR de Tours, puis en danse contemporaine à Paris, il enrichit son parcours en suivant notamment les stages de Christine Bastin, Carlotta Ikeda, Christine Kono, Jean Cébron...

Depuis 1989, Guillaume a été interprète dans les compagnies Studio Laroche-Valière, Caroline Marcadé, Centre National Chorégraphique de Nantes Claude Brumachon, Echafaudage, Actogramme, Damuthée.

Il dansait récemment pour la compagnie Icosaèdre Marilèn Iglésias Breuker et intervenait également en milieu scolaire.

En 1999, il est co-fondateur de la compagnie L et L, son premier champ d'expérience chorégraphique. Dissoute en 2002, il poursuit l'aventure avec Eric Senen et la compagnie L et S.


Nous adressons à sa famille et son entourage notre soutien en pensées...


Valérie Gros-Dubois

APPEL A PROJETS : L'ANNEXE POUR LES PETITS SPECTATEURS
























Vous avez un projet dans les domaines du spectacle vivant, des arts, des jeux, des sciences pour le jeune public de 0 à 12 ans et/ou pour sa famille ? La compagnie Songes lance un appel à projets et vous ouvre les portes de L'Annexe pour sa saison 2011-2012 !


Deux possibilités d'accueil :

- un accueil en résidence de création

- un accueil en résidence de diffusion Ces deux types d'accueil se concluront par 3 représentations un mercredi entre octobre 2010 et avril 2012.


ENVOYEZ VOTRE CANDIDATURE AVANT LE 20 MAI 2011


Pour les documents à télécharger

Appel à projet complet ici

Fiche synthétique à remplir ici

Fiche technique de L'Annexe ici

ou auprès de la Compagnie Songes

Direction artistique : Julie SERPINET

- Chargé de développement : Olivier GRANDIN

- Chargée de diffusion et communication visuelle : Claire RAFLEGEAU

Les bureaux : 1 Place de la Liberté 26500 BOURG LES VALENCETel / Fax : +33 (0) 4 75 55 16 62 - E-mail: annexe@compagnie-songes.com

Du 1er au 22 avril 2011 : Festival International / Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse - Midi Pyrénées

C’est reparti ! Dans moins d’une semaine, retrouvez la deuxième partie du festival avec 11 créations chorégraphiques mises en œuvres par le CDC.

Ouverture le 1er avril à 19h au Studio du CDC, avec "Ce que nous sommes" de Radhouane El Meddeb (Tunisie). voir la bande annonce du festival
Vendredi 25 mars 2011 à 18h30 au Studio du CDC : "Aparté" avec Trisha Bauman
Découvrez le travail réalisé ces quinze derniers jours par les stagiaires de la formation professionnelle Extensions, aux côtés de Trisha Bauman. Entrée libre plus d'infos

"Le Sucre du printemps" dans le Lot et en Aveyron. "Le Sucre du printemps" est une adaptation du Sacre original par Marion Muzac et Rachel Garcia à l'intention de 23 adolescents. Cette production initiée par le CDC est en tournée en région Midi-Pyrénées.
Le samedi 9 avril 2011 à 20h30 au Théâtre de Cahors / Réservations : 05 65 20 88 60
Le dimanche 17 avril 2011 à 16h00 à la MJC de Rodez / Réservations : 05 65 67 01 13

Du 5 au 29 avril 2011 : Trois intervenants pour les cours techniques du matin de 10h30 à 12h30 Du 5 au 8 avril : Christophe Le Goff
Du 11 au 22 avril : Adolfo Vargas et Isabelle Saulle
Du 25 au 29 avril : Sophie Aubineau plus d'infos

Les ateliers dansés du parcours culturel. Cinq classes élémentaires de Toulouse ont choisi le CDC pour s’initier à la danse contemporaine en suivant le parcours culturel gratuit de la Ville de Toulouse. En mars et en avril, 115 élèves participent à des ateliers de danse avant d’aller voir le spectacle "Dominos and Butterflies", programmé le 12 avril dans cadre du Festival International CDC .
Retrouvez toute l'actualité du CDC sur notre site http://www.cdctoulouse.com/

Appel à candidatures des Petites Scènes Ouvertes Réseau interrégional pour la diffusion chorégraphique


Les Petites Scènes Ouvertes (P.S.O.) organisent chaque saison des plates-formes inter-régionales de présentation de jeunes auteurs chorégraphiques, pour dynamiser la présentation et la circulation des projets sur le territoire national.

Vous êtes une compagnie professionnelle ou un porteur de projet chorégraphique, le réseau interrégional des Petites Scènes Ouvertes vous propose de présenter votre travail en dehors de votre région d’implantation, dans le cadre de rencontres organisées à destination des professionnels et des programmateurs.
Vous disposerez de 20 minutes pour présenter votre travail, en conditions techniques minimum. Ces journées ont souvent lieu dans le cadre d’un temps fort autour de la danse et sont ponctuées de temps de convivialité, propices à la discussion informelle avec les programmateurs.

Les membres du conseil artistique des PSO sont présents lors de chaque plate-forme.
Il est conseillé de prévoir d'assister à toute la plate-forme.

Conditions générales :
- Etre une compagnie professionnelle.
- Présenter une pièce de 20 minutes ou un extrait chorégraphique de 20 minutes maximum.
- Les travaux chorégraphiques sont présentés en conditions techniques minimum (décor léger éventuel).
- Les compagnies ayant déjà participé aux Petites Scènes Ouvertes peuvent postuler avec une nouvelle création. Leur candidature ne sera toutefois pas prioritaire.
- L’association Les Petites Scènes Ouvertes assure aux compagnies une participation aux frais de transports et aux frais artistiques.

Calendrier prévisionnel des plates-formes :
Pour la saison 2011/12, nous vous proposons de présenter votre travail en dehors de votre région d’implantation, lors d’une des 4 plates-formes :
- Niort novembre 2011 Les Eclats Chorégraphiques
- Brest décembre 2011 Danse à tous les étages !
- Roubaix fin mars 2012, lors des Repérages Danse à Lille
- Paris mai 2012 L’étoile du nord

Les 6 membres du Réseau des PSO :
Journées Danse Dense, Pantin - Danse à tous les étages ! Rennes/Brest - Les Eclats Chorégraphiques, La Rochelle - Danse à Lille CDC, Roubaix - L’étoile du nord scène conventionnée Danse –membre du CDC Paris Réseau, Paris - Le Pacifique I CDC, Grenoble.

Comment postuler ?
Envoyer un dossier complet comprenant :
1- une présentation de la compagnie et de la pièce que vous avez choisie de proposer au réseau des PSO
2- un support vidéo DVD de la pièce présentée.
3- dans la mesure du possible, la mention de votre site internet avec extrait de votre pièce en ligne ou un lien vers un site où une vidéo de votre travail est visible (vimeo, daily motion, you tube…)Dans les deux cas, vous devez impérativement nous indiquer l’extrait précis (20 minutes maximum) que vous souhaitez présenter lors de la plate-forme et il doit s’agir d’une captation en plan fixe et non d’un montage.
4- la liste des prochaines occasions d’assister à la présentation de votre travail (représentation, répétitions ouvertes etc…)
5- la fiche signalétique complétée

Date limite d’envoi des dossiers COMPLETS par courrier : 15 avril 2011
Petites Scènes Ouvertes 2, rue Sadi Carnot 93500 Pantin
Tél : 01.49.15.40.24

Les dossiers sont étudiés dans la limite des places disponibles et par ordre d’arrivée.
Les réponses seront communiquées par courrier avant le 15 juillet.
La sélection est assurée par le conseil artistique. Il est mis en avant la cohérence de la proposition artistique. Les jeunes auteurs sont une priorité du réseau. La qualité de la captation est importante. Il est essentiel d’éviter les montages et de privilégier des plans fixes larges permettant au conseil artistique d’apprécier le travail de la compagnie et d’avoir une vision la plus proche possible de la réalité. Après sélection, l’organisation est ensuite assurée par chaque plate-forme interrégionale.

Membres du conseil artistique :
- Marion Bati – Les Eclats chorégraphiques – La Rochelle
- Annie Bégot - Danse à tous les étages ! – Rennes
- Christiane Blaise – Le Pacifique CDC I Grenoble
- Catherine Dunoyer de Segonzac - Danse à Lille CDC – Roubaix
- Annette Jeannot - Journées Danse Dense – Pantin
- Christophe Martin – membre du CA des PSO – Micadanses / membre du CDC Paris-Réseau
- Jean-François Munnier - L’étoile du nord, scène conventionnée Danse / membre du CDC Paris-Réseau

Production : Journées Danse Dense, Danse à tous les étages !, Les Eclats Chorégraphiques, Danse à Lille– CDC, L’étoile du nord, Le Pacifique ICDC, Association les Petites Scènes Ouvertes, avec le soutien de l’ADAMI. Le projet des PSO est soutenu par le Ministère de la Culture et de la Communication – DGCA

1ère édition du Festival "Dansons le monde"

DANSONS LE MONDE !
Le festival des danses du monde inscrites dans le monde d’aujourd’hui
- du 30 avril au 15 mai 2011 à Montreuil (Seine-Saint-Denis)

La compagnie Les Alouettes Naïves mettent en valeur la vivacité et la modernité des danses du monde.
15 jours pour
apprendre (stages de pratiques), partager (bal) mais surtout pour découvrir ce que les artistes ont à nous dire de notre monde avec 8 spectacles qui seront présentés au Théâtre Berthelot de Montreuil du 5 au 14 Mai 2011.

Danses tsiganes : Isao cie - Sophie Ménissier
Danse orientale : Emmanuelle Rigaud - cie Les Alouettes
Naïvestango : Jean-Paul Padovani et Claudia Miazzo - cie Tango Ostinato
Flamenco : Yana Maizel - cie Errances
Danse africaine : Ghislaine Décimus et Kossua Ghyamphy - cie A Corps Métis
Danse indienne : Dolsy - cie Dansez Masala
Atelier de danse des enfants du Bas Montreuil : Méli Mélo Drom

Une collaboration de la cie Les Alouettes Naïves et de la Ville de Montreuil avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication et du Centre National de la Danse dans le cadre du dispositif Danses en amateur et répertoire. Un partenariat avec Les Villes des Musiques du Monde.

Retrouvez toutes les informations sur http://www.lesalouettesnaives.com/

Des nouvelles du Théâtre du Lierre 13e arrondissement


Informations nouvelles sur l’avenir du Lierre
Nous avons appris – d’abord par voie de presse (La Lettre du Spectacle) ! – que le Nouveau Théâtre serait officiellement attribué au Théâtre 13 qui, ainsi, exploiterait deux lieux. Aussi, selon la même source, la Compagnie du Lierre s’y trouverait en résidence de création pour deux saisons. Nous n’en savons pas plus, parce qu’on ne nous a rien dit ou proposé officiellement.
L’attribution du Nouveau Théâtre au Théâtre 13 serait surprenante à deux titres :
- Le Lierre ne peut – selon la Ville de Paris – gérer le Nouveau Théâtre car il lui manquerait les subventions de l’État. Mais la Ville arrive à dégager les moyens pour avoir deux Théâtre 13 !L ’ argument de la Ville est que Lierre est une compagnie et non un théâtre. Il ne tient qu’à la Ville de nous donner un statut de théâtre.
- Selon « La lettre du Spectacle », la directrice du Théâtre 13 reconnaît que « la situation de transition va être compliqué à gérer », mais aussi que « Ce sera un défi de faire venir un public dans ce nouveau théâtre ». Pourtant, le Lierre a parfaitement réussi à faire venir du public dans ce quartier pendant des années. Puisqu’il est devenu récemment plus difficile de remplir les salles (pour des raisons de subventionnement, et pas seulement au Lierre), la Ville de Paris argue qu’on ne peut pas gérer le nouveau théâtre ! Mais quel que soit le dirigeant du Nouveau Théâtre, il lui faudra des moyens de communication supplémentaires pour bâtir et fidéliser un public.
Échanges de courrier entre spectateurs et la Ville de Paris
Vous avez été nombreux à avoir écrit en janvier à M. Delanoë pour apporter votre soutien au Lierre, et je vous en remercie vivement. M. David Kessler, le conseiller culturel du Maire, a répondu à bon nombre d’entre vous en février. Son courrier vous explique pourquoi la Ville ne donne pas la direction du Nouveau Théâtre au Lierre et signale l’intention de la Ville de lui trouver une solution de rechange. Devant les propos de ce courrier, vous avez été encore nombreux à nous communiquer votre incompréhension, votre stupéfaction, voire votre indignation, nous demandant ce que vous pouvez faire. Si le courrier de M. Kessler ne répond pas à votre attente, vous pouvez lui écrire à l’adresse suivante : M. David Kessler, Hôtel de Ville, 75196 Paris RP.
Merci de m’envoyer une copie de votre courrier (fpaya.lierre@free.fr).
Le résumé de la situation
Le Lierre, vous l’avez compris, se trouve dans une situation complexe. Pour ceux d’entre vous qui souhaiteriez avoir plus d’informations pour mieux nous soutenir, en voici un résumé :
Le conflit de fond autour du Nouveau Théâtre Le Lierre fait les frais d'un désaccord de fond entre la Ville de Paris et l'Etat au sujet du Nouveau Théâtre. La Ville comptait sur l'Etat pour en co-financer le fonctionnement. L'Etat, ne voulant pas contribuer au financement d'une initiative de la Ville, s'est désengagé par rapport au Lierre, à qui le Nouveau Théâtre était initialement destiné. L'Etat cherche à masquer ce désaccord de fond en incriminant la qualité du travail du Lierre. La Ville, voyant ce désengagement et ne voulant suppléer à l'Etat, conclut que le Lierre n'aura pas les moyens de faire fonctionner le Nouveau Théâtre. L'article de Brigitte Salino dans Le Monde daté du 24 février 2011 souligne ce désaccord. Le Lierre est pris entre deux feux. Il n’empêche que le Lierre reste encore une solution possible et de qualité pour le Nouveau Théâtre. En même temps, une résidence de la Compagnie du Lierre au Nouveau Théâtre n’est pas à exclure.
L’équipe du Lierre : étant donné que les activités liées au Théâtre du Lierre vont cesser fin avril, nous avons dû procéder à un licenciement de l'équipe permanente.
Le déménagement vers un lieu est encore à déterminer avant juin. Le théâtre lui-même sera détruit vers le mois de juillet.
La fréquentation au Lierre : la fréquentation est effectivement en baisse depuis quelques années, comme dans beaucoup de théâtres parisiens. Le gel des subventions depuis 2002 (même pas d’ajustement pour le coût de la vie) a eu un impact direct sur le nombre de représentations que le Lierre pouvait programmer ainsi que sur la communication que nous pouvions faire pour remplir les salles. Dès 2008, la Ville avait été alertée sur ce sujet. Notre demande d’augmentation de subventions pour compenser l ’ érosion monétaire n’a pas été retenue.
Les subventions principales du Lierre DRAC Ile-de-France : Le déconventionnement annoncé en 2009 se traduit par une baisse progressive, de 400 000 € en 2009 à 0 € en 2014.
La Ville de Paris : Nous ne savons pas encore si les 246 000 € de 2010 vont évoluer en 2011, 2012, 2013.
La Compagnie du Lierre : à priori, la Compagnie du Lierre pourra continuer à lancer des productions et organiser des ateliers, mais elle n’aura pas son propre théâtre. La Ville de Paris travaille actuellement sur les modalités de son relogement, qui pourrait se traduire par une résidence de création au Nouveau Théâtre.
Et puis ?
Situation complexe mais réaction viscérale : il est dommage de voir un équipement culturel comme le Théâtre du Lierre disparaître pour des raisons politiques. Et nous ne comprenons toujours pas la logique décisionnelle de la Ville par rapport au Nouveau Théâtre.
Chers spectateurs, le Lierre vous doit beaucoup, et nous espérons sortir de cette situation difficile avec des perspectives pour continuer à vous proposer de beaux spectacles.
Merci de votre soutien, de votre fidélité et de votre encouragement à ne pas lâcher.
Farid Paya
Metteur en scène et Directeur du Lierre

Au Théâtre le Proscénium : Reprise de la pièce "Abracadabra comme une chèvre" par le chorégraphe Pierre Doussaint


Les mercredi, vendredi et samedi reprise du solo "Abracadabra comme une chèvre" écrit à la demande de Fabrice Dugied (directeur artistique du Regard du Cygne à Paris, chorégraphe et danseur), pour son projet Mémoires vives 3.

"C'est avec beaucoup d'émotions que je reprends cette pièce, car elle est liée à Karine Waehner, personnalité très importante de la danse contemporaine en France. Sa disparition a révélé à quel point son influence est fondatrice. J'ai eu la chance d'être "formé" par Karine dans mes débuts en danse contemporaine. Son franc parler, son engagement et son ouverture pour les autres danses et les arts en général ont influencé mon chemin et je lui rends hommage par cette courte danse. Je sommes plusieurs à partager ces soirées, toutes et tous partenaires de créations" pour faire avancer la diffusion de chacun.
Pierre Doussaint


Danse au Proscenium II
Trois spectacles de danse
Des aventures artistiques en commun et l'envie de danser, de partager avec le public à Paris au Théâtre le Proscénium, 2 passage du Bureau ( angle 170 rue de Charonne)

M° Alexandre Dumas Paris

Du mercredi 16 au 19 mars 2011 à 19h15, le dimanche 20 mars à 15h15
L'impatience dans le jardin
Nathalie Tissot, Yumi Fujitani, Marianne Rachmuhl
&
Les 16-18-19 mars à 19h15
Abracadabra comme une chèvre
Solo de Pierre Doussaint
ou
Le 17 à 19h15 et le 20 mars à 15h15
Hic et Nunc (ici et maintenant)
Soizic Muguet, Clément Roussillat
... au plaisir de vous y voir bientôt !
Réservations: 06 18 60 45 89 / 01 40 09 06 77

LES AQUA-RHONE - Spectacles sur l'eau > APPEL A PROJET 2011



"Initiés par la compagnie Louxor spectacle, « Les Aqua-Rhône » présentent une programmation de spectacles sur l’eau, où le fleuve Rhône est l’acteur principal des créations.
Ce nouveau dispositif culturel s’inscrit dans le volet «culture rhodannienne» du Plan Rhône, projet global de développement durable sur le fleuve et sa vallée.

APPEL A PROJET /// OBJECTIFS
A travers «Les Aqua-Rhône», la compagnie Louxor Spectacle soutient et coproduit tous les deux ans une création originale imaginée pour et sur l’eau par une équipe artistique, puis accompagne et diffuse le projet avec les acteurs locaux dans les villes côtières du fleuve Rhône.


CONTEXTE – THEMATIQUE GENERALE
Élément vital, indispensable et commun à tous les êtres vivants, l’eau, de nouveau au centre des préoccupations, représente un espace de possibles, d’enjeux sociaux, culturels, écologiques, urbanistiques, esthétiques… Aujourd’hui, fleuves, lacs et rivières s’inscrivent dans toutes les villes, comme symbole de fraîcheur, de richesse et d’évasion. L’attention portée aux étendues urbaines d’eau et à leurs périmètres, ainsi que leur valorisation, ne cessent de s’intensifier.


QUAND LE RHONE DEVIENT SCENE
Les arts de rue, par leur dimension imaginaire, ont la capacité de transformer des lieux improbables en espaces magiques. Ils jouent de leur environnement immédiat et des préoccupations contemporaines pour apporter au public une vision surprenante du quotidien. De l’héritage du théâtre forain aux grandes fêtes urbaines, en passant par la danse, les arts du cirque ou les arts visuels, la diversité des esthétiques et des techniques des arts de rue ne connaît pas de limite. En se réappropriant les berges comme nouvel espace de convivialité, le fleuve comme nouvel espace de création, les équipes artistiques investissent un environnement encore peu exploité par les acteurs culturels.


LE PROJET ARTISTIQUE, CREER POUR ET SUR L’EAU
Les équipes artistiques devront proposer une création originale autour du fleuve et de ses problématiques:
- Le Rhône, territoire de création: le fleuve devient scène.
- Le Rhône, élément contextuel de création: nourrir une vision originale du fleuve.
- Appréhender de manière sensible les territoires rhodaniens en les intégrant au coeur du dispositif scénographique. L’inscription du fleuve dans l’écriture dramaturgique et scénographique du spectacle constituera un critère essentiel de sélection."


CALENDRIER
> 10 juin 2011 Date limite de dépôt des dossiers
> fin septembre 2011 Sélection du projet par le comité de pilotage
> à partir de septembre 2011 Création du spectacle
> été 2012 1ère représentation du spectacle
> saison 2012-2013 Exploitation du spectacle


La compagnie Louxor spectacle.




Dernière création de la compagnie Norma Claire : Together, vite ! jusqu'au 20 mars 2011 au Théâtre d’Ivry Antoine Vitez - Ivry


Vous avez jusqu'au 20 mars pour aller voir la dernière création de la chorégraphe Norma Claire Together, vite ! les Samedis 12, 19 mars à 18 h- Dimanches 13, 20 mars à 16 h au Théâtre d’Ivry Antoine Vitez - 1 rue Simon Dereure – 94200 Ivry-sur-Seine / Métro Ligne 7 Mairie d’Ivry - http://www.ivry94.fr/

Together, vite !

Note d'intention (Extrait du dossier de presse)

"Norma Claire crée « Together, vite ! » une pièce qui parle de la reconnaissance de ce qui fait que nous sommes tous différents !!! Cette pièce évoque la différence des couleurs de peaux, des couleurs de cultures, des couleurs de mouvements, des couleurs de musiques. Parler de ce qui nous fait être ensemble, dans une« complétude » évidente grâce à ces ethnies nombreuses. C’est une réponse à cette mondialisation qui nous veut tous identiques en fonction d’un seul critère occidental.

« L’énergie du monde en mouvement pour nous c’est aujourd’hui la rencontre des différences, ou du moins la reconnaissance absolue de nos différences…Et l’énergie du monde en mouvement déplace les différences et organise leurs inexprimables. » Edouard Glissant

Norma Claire poursuit son travail de création au Théâtre Antoine Vitez, autour de la pensée du philosophe Edouard Glissant sur la Créolisation du Monde.
Elle continue son manifeste pour dire l’absurde de la non-reconnaissance de la différence des êtres, et veut affirmer la « Mosaïque Monde ». Elle exprime cette humanité tout au long de son parcours artistique. De par ses origines créoles, elle est tout particulièrement concernée par les métissages et par les différences qui créent les ressemblances entre les êtres. Elle dit la nécessité absolue pour les humains à se reconnaître différents et à vivre tous les possibles métissages qui font l’équilibre de l’humanité, cet absolu nécessaire à l’Unité des Mondes.

« Les poétiques du Tout-monde sont issues des imaginaires de nos politiques les plus disséminées, les plus obstinées, ici et partout, combats ignorés, cris malentendus, rassemblements fragiles, et visées tellement impossibles à tenir. »Edouard Glissant

La Créolisation du Monde a toujours été, est, sera.
Sur scène, 5 danseurs et 1 musicien.
Une chorégraphie où les couleurs sont actives,
Une scénographie où le cercle agit
Un décor de couleurs vives en résonance avec les sonorités musicales multiples dans le monde. Des artistes d’origines diverses Afrique, Asie, Europe, Inde et de techniques multiples, danse contemporaine, africaine, indienne, hip-hop.
Des identités particulières qui s’entrechoquent, qui se croisent, qui se singularisent et qui se fondent dans un langage chorégraphique plein de joie, de vie et d’énergie.
Une composition chorégraphique très haute en couleur pour affirmer les échos de la diversité, pour affirmer le possible « Tout-monde », pour chanter le créole monde.
Une traversée dans différents continents, dans différentes langues, dans des humanités multiples qui créent de la Relation dansée et musicale.
Une création Juste pour vivre entre nous…L’humain se recrée, se renouvelle en permanence dans la Relation fondatrice à l’autre, d’où qu’il vienne.
Together, vite ! révèle l’urgence de se vivre ensemble, différents, et invite à sortir des préjugés, des carcans de l’enfermement des races supérieures ou non. Enfin vite, ensemble pour se plonger dans l’énergie de nos diversités, de nos multiplicités, vite pour se vivre complexe, multiple, créole. Nous sommes traversés par les êtres, par l’humanité de chacun d’entre nous, par nos sensibles diversités culturelles, et émotionnelles…

Alors, vite soyons comme le dit Edouard Glissant « Peuple Monde ». "Norma Claire
Création tout public de 7 à 107 ans
Réservation indispensable
Compagnie Norma Claire
01 43 15 98 20 / antipodes.paris@compagnienormaclaire.com
Tarif de 0 à 16 ans : 6 € (et 10 € pour l’adulte accompagnateur).
Tarif plein : 15 €
Tarif préférentiel : 13 € Ivryens , - de 26 ans, + de 60 ans, étudiants, demandeur d’emploi, RSA, -
sur présentation d’un justificatif.
En ce qui me concerne, j'ai hâte de voir cette pièce d'autant que Norma Claire mérite depuis longtemps une meilleure reconnaissance du monde chorégraphique dans lequel elle s'inscrit avec détermination, ferveur, un esprit résolumment contemporain avec un profond respect pour ses racines.
Valérie Gros-Dubois

Scènes de bal, bals en scène : Exposition au CND jusqu'au 30 avril


A ne manquer sous aucun prétexte !!!
N'avons-nous pas tous des souvenirs de bals qui nous ont marqué... moment convivial, intergénérationnel, propice à la séduction ou à la transgression, à l'exubérance...
Tous les états du bal s'exposent au Centre national de la Danse de Pantin. Et c'est formidable qu'une telle initiative trouve sa place dans ce lieu et nous permette de voyager à travers le temps !
Le bal : temps de la fête, de la mise en scène des corps, et des espaces quotidiens, de la rencontre… Entre ordre et désordre, chaque bal a ses codes et ses rites selon les lieux et les époques.
Du 9 février au 30 avril 2011, on pourra découvrir ses métamorphoses et ses multiples mises en scène, dans des œuvres chorégraphiques mais aussi cinématographiques, avec de nombreux extraits de films du monde entier, du muet au parlant, du noir et blanc à la couleur. Ceux qui n'ont pas le temps de venir à Pantin pourront trouver une consolation avec le superbe catalogue de l'expo édité par le CND. Renseignements et toutes infos ICI
Vous retrouverez un extrait de "La danse d'avril" dirigé par Johan Amsellem chorégraphe de La Halte-Garderie dans le cadre d' "Entrez dans la danse" ! Danse de couple jubilatoire sur musique électro !
Associée à l'expo, la possibilité d’aller au bal "pour de vrai" au Théâtre national de Chaillot, qui propose en après-spectacle cinq rendez-vous dansants, de mars à juin.
Le 26 mars avec le Bal africain de Seydou Boro et Salia Sanou marque le coup d'envoi de ces rendez-vous, le samedi 26 mars à 22h, au tarif unique de 6 € !Réservation au 01 53 65 30 00. On peut réserver ses places (pour 2 € de plus) en cliquant ICI.
Alors n'hésitez pas à profiter de ces temps qui créent du lien mettent du baume au coeur !
Valérie Gros-Dubois

Sortie du film en 3D : Pina "Dansez, dansez, sinon, nous sommes perdus" /Date de sortie : 6 avril 2011


SÉLECTION OFFICIELLE AU FESTIVAL DE BERLIN 2011
Un film de Wim Wenders
Avec : les danseurs du Tanztheater de Wuppertal

PINA est un film pour Pina Bausch de Wim Wenders.C'est un film dansé en 3D, porté par l’Ensemble du Tanztheater Wuppertal et l’art singulier de sa chorégraphe disparue à l’été 2009.Ses images nous convient à un voyage au coeur d'une nouvelle dimension, d’abord sur la scène de ce légendaire Ensemble, puis hors du théâtre, avec les danseurs, dans la ville de Wuppertal et ses environs - cet endroit dont Pina Bausch a fait son port d’attache durant 35 ans et où elle a puisé sa force créatrice.
Après la disparition soudaine de Pina Bausch – alors qu’elle préparait le tournage avec Wim Wenders – ce dernier a dû, après une période de deuil et de réflexion, reprendre entièrement la conception de son film sur et avec Pina Bausch. C’est devenu un film pour Pina Bausch. On y trouve, en plus des chorégraphies qu’ils avaient choisies ensemble : « Café Müller », « Le sacre du printemps », « Vollmond » et « Kontakthof », un petit nombre d’images et de documents sonores sur sa vie. On y voit aussi, filmés en 3D à Wuppertal et dans ses environs, et les membres de l’Ensemble du Tanztheater danser les souvenirs personnels qu’ils gardent du regard rigoureux, critique et bienveillant de leur grande inspiratrice.
Wim Wenders et Pina Bausch ont été amis pendant plus de vingt ans, et ils avaient toujours évoqué l’idée de faire ensemble un film dansé. Mais c’est seulement avec les dernières avancées de la technologie 3D numérique que Wim Wenders a trouvé le langage esthétique capable de rendre à l’écran la plasticité singulière et la force d’expression émotionnelle de la danse-théâtre si novatrice de Pina Bausch. C’est maintenant seulement que la dimension spatiale fait son entrée au cinéma et qu’on peut la travailler. Cette dimension a toujours été celle de la danse et du mouvement, et le nouveau cinéma en 3D peut à présent y emmener le spectateur pour un voyage
d’exploration sensuel.

WIM WENDERS SUR PINA BAUSCH

"ELLE A INVENTÉ UN ART NOUVEAU
Non, ce n’était pas un ouragan qui venait de balayer la scène. Il y avait là… des gens qui se mouvaient différemment de ce à quoi j’étais habitué, et m’émouvaient autrement que tout ce qui m’avait ému auparavant. Au bout de quelques instants j’avais déjà une boule dans la gorge et après quelques minutes d’un incroyable étonnement, j’ai simplement laissé libre cours à mes sentiments et je me suis mis à chialer sans retenue. Cela ne m’était encore jamais arrivé…
Si, dans la vie, ou parfois aussi au cinéma, mais pas en regardant une mise en scène bien rôdée, sans même parler d’une chorégraphie. Ce n’était pas du théâtre, ni de la pantomime, ce n’était pas du ballet et encore moins de l’opéra. Pina, comme vous le savez, a inventé (et pas seulement en Allemagne) un art nouveau. Avant, le mouvement comme tel ne m’avait jamais touché. Je l’avais toujours pris comme une donnée de fait. On se meut, c’est tout. Tout est en mouvement. C’est seulement grâce à la danse-théâtre de Pina que j’ai appris à prêter attention aux mouvements, aux gestes, aux attitudes, aux mimiques, au langage du corps. Et par là même, j’ai appris à les apprécier.
Au fil des années, chaque fois que je revoyais les pièces de Pina, a plupart pour la énième fois, j’apprenais de nouveau, souvent comme foudroyé, à voir dans les gestes les plus simples et les plus évidents ce qu’il y a de plus émouvant au monde. A voir quel trésor habite nos corps, et nous permet de communiquer sans les mots, combien d’histoires peuvent se raconter sans qu’une seule phrase soit dite." (Extraits du discours prononcé lors de la remise à Pina Bausch du Prix Goethe 2008 de la ville de Francfort-sur-le-Main)
Nous sommes peut-être en présence d'un tournant cinémathographique. En effet, ces derniers mois, le 7ème Art met la danse à l'affiche des "Grands écrans" avec la sortie de 3 films qui traitent de la danse : "Black Swan", ou de figures emblématiques tels que Béjart/Gil Roman, Pina Bausch qui ont marqué l'histoire de la danse. Ainsi le cinéma contribue aussi à une meilleure reconnaissance par le grand public, de la danse, de sa pratique, du travail fait en amont pour la création d'un spectacle, du rapport chorégraphe/danseurs, des répétitions, des divers corps de métiers qui participent à la concrétisation d'une oeuvre. N'oublions pas le film "Les rêves dansants" qui traite également de la chorégraphie de Pina Bausch. Les approches de ces 4 films sont très différentes, tous les partis pris sont intéressants, n'oublions pas que la danse est multiple et donc qu'elle peut ouvrir encore de nombreux champs à des scénaristes, et producteurs.
En attendant, notre partenariat avec les Films du Losange nous permet d'offrir aux plus réactifs de nos lecteurs 1 place gratuite pour aller voir Pina dès le 6 avril 2011, date de sa sortie en salle. Les 10 premiers à nous adresser leur demande avec leur coordonnée, et adresse à mouvancedarts@yahoo.fr , recevront sous quinzaine leur place à domicile.
Valérie Gros-Dubois
Pour visionner la bande annonce clicquer sur ce lien : http://www.filmsdulosange.fr/videos_pages/pina.html

Maroussia Vossen dans Corps Accords à l'Auditorium Saint-Germain le mardi15 mars à 19h30


« CORPS ACCORDS » - Création septembre 2010 Chorégraphies et interprétation : Maroussia Vossen Ecriture et mise en scène : Damien Rondeau Avec le regard complice d’Anne-Marie Sandrini Le mardi 15 mars 2011 à 19h30 A l’Auditorium Saint-Germain

4, rue Félibien

75006 Paris

Téléphone : +33 01 46 34 68 58

Métro : Mabillon ou Odéon

Entrée libre sur réservation : contact@mpaa.fr


http://www.mpaa.fr/ Ce voyage nous entraine sur les pas d’une femme qui danse sa vie depuis toujours. Introspection et rétrospection se mêlent au hasard d’une rue, d’une rencontre avec l’autre, avec elle-même. Et chaque fois qu'elle avance, elle retourne vers son point de chute, un jardin qu'elle cultive et qui la protège. Entre rêve et réalité, son théâtre intérieur nous bouscule pour nous mener sur les chemins de sa vie : la danse. Mais va-t-elle se réveiller ? « Corps Accords » est le voyage d’une danseuse qui part à la conquête d’elle-même. Elle danse sa solitude, le temps qui passe, sa folie mais aussi les moments de grâce. Elle danse le double, nos doubles, ceux que l’on aime et ceux que l’on fuit. Menant sa vie comme une fiction, elle cultive un jardin à son image. Extraordinaire. Le duo est abordé dans la relation d’une danseuse aux autres arts : la musique, les arts plastiques, le cinéma… La danse est le duo d’un corps avec la musique, un musicien; la peinture une rencontre avec une surface ; la sculpture un duo avec soi ou un autre imaginaire… Mais c’est aussi celui d’une danseuse avec son environnement, ou l’espace dans lequel elle évolue en mouvement. Le duo d’une danseuse et d’une image animée qui s’interpénètrent pour ne former plus qu’un. La dualité apparaît sous l’angle d’un mystère : rêve ou réalité ? Cette danseuse se démultiplie pour devenir une autre, se confrontant à elle-même et au temps qui passe… Est-elle un personnage de fiction ou la danseuse, ou encore la femme que nous connaissons ? La dualité comme un ultime duo avec elle-même. En avant –première et intimement lié à cette création, vous découvrirez également « Pattes de deux » avec Maroussia, la danseuse et Djaleng de Paleodia, le chat, une production des Films du Jeudi. Ce Film est dédié à Chris Marker.


Biographies succintes : Maroussia Vossen : Danseuse piétonne, qui, depuis l’enfance, swingue, chorégraphie, et performe avec divers arts et de grands artistes. Après un parcours d'une richesse inouie, elle poursuit son chemin ces deux dernières années avec « Brèves salutations » dans l’exposition de Karin Lewin « Les encres de l’Artiste » accompagnée à la clarinette par Sylvain Kassap à la Galerie des fous ; au Mac 2000, elle danse avec « Les Poupées » de Gilles Gallieni ; au Mandapa avec Hélène Marquié ; au Musée Bourdelle, elle propose « Une promenade dansée » ; à l’Auditorium Saint-Germain, un hommage à Isadora Duncan en duo avec Elisabeth Schwartz, ainsi qu’un hommage à Roger Tessier en solo sur un poème de Rilke et une musique de Roger Tessier, ; au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en partenariat avec le Musée Galliéra, elle présente « Robe dansée », un hommage à Sonia Delaunay, solo dans une robe de la célèbre peintre, devant ses peintures exposées ; enfin, la réalisation du film « Pattes de deux » avec les Films du Jeudi dédié à Chris Marker qui sortira en 2011. Damien Rondeau : Né le 27 novembre 1983, Damien Rondeau est titulaire d'un diplôme supérieur en Arts Appliqués (DSAA) Architecture d'intérieur à l'Ecole Boulle en 2006, et diplômé en Design d'Espace à Olivier de Serres (ENSAAMA) en 2004. En 2007, il scénographie Avui Sortim, spectacle de danse de Carles Salas présenté au Théâtre National de Catalogne à Barcelone et à travers toute l'Espagne. Parallèlement, il exerce son activité d'architecte d'intérieur pour diverses agences: IVEMAC de 2006 à 2007 à Barcelone, Oger International de 2008 à 2010 entre Paris et le Moyen Orient (Liban et Arabie Saoudite), et quelques chantiers privés en indépendant. Décorateur de cinéma sur « Avril », long métrage de Gérald Hustache Mathieu en 2005, il poursuit avec L'été indien d'Alain Raouste en 2006 et reprend cette activité en janvier 2011 pour le premier long métrage de Benjamin de Lajarte, « Les jeux des nuages et de la pluie ». Par ailleurs, formé au jeu d'acteur et sensible à l'espace scénique, il s'essaye à la mise en scène à diverses occasions avant de créer « Corps Accords » en 2010, pièce dansée par Maroussia Vossen et présentée le 15 mars 2011 à l'Auditorium St Germain des Près. Relations presse : Valérie Gros-Dubois 06.62.60.92.76 / mouvancedarts@yahoo.fr

Les Incandescences du 5 mars au 2 avril 2011



Un festival itinérant en Seine-Saint-Denis organisé par les Journées Danse Dense .

"Que dire des artistes qui sont là ? Ils s’accrochent à l’humain, nous immergent dans l’acte dansé privilégiant l’épure, créent un univers où le verbe et le geste s’entrechoquent, se perdent dans des « lieux » poétiques, affirment un goût pour les partitions musicales complexes, inventent un ensemble de principes instables qui conduisent à des gestes instantanés, produisent des corps sonores, font jaillir la danse de la mécanisation du corps… Alors danse abstraite, virtuose, branchée, expressive, prise de tête…. Elle investit et irrigue le plateau d’oeuvres qui « transportent » le public ailleurs pour un moment et peut-être plus… Les incandescences vous feront voguer au fil des lieux, sur un navire qui mettra en perspective des univers variés. Et nous maintenons le cap !"
Annette Jeannot Directrice artistique des Journées Danse Dense

> THEATRE BERTHELOT, MONTREUIL : coup d'envoi !
samedi 5 mars à 20h30
"Petit pulse", Mélanie Munt, compagnie Mélanie Munt
Concept, chorégraphie et interprétation : Melanie Munt / Création lumière : Laurence Halloy /
Création sonore : Antonin De Bemels
Un petit poème physique dans l'espace restreint d'un castelet. Une lumière nomade (mobile, inconstante) creuse l'ombre pour dévoiler des parties de corps incertaines, mystérieux îlots de chair détachés de leur caractère humain. Montré ainsi partiellement, par touches presque abstraites, le corps vibre, se tend et se détend, révèle toute sa familière étrangeté. Un défi à notre perception, une petite leçon d'anatomie sensuelle.

"Polder #1", Françoise Tartinville, compagnie Atmen
Conception et chorégraphie : Françoise Tartinville / Danse : Max Fossati / musique originale : Sébastien Roux / Vidéo : Marguerite Lantz/ Création lumière : Boris Molinié
Il s’agit ici, à travers une forme performative, de suivre au plus près le danseur dans la réalisation d’une partition corporelle composée de mouvements respiratoires.
C’est un travail sur les ressorts pulsionnels : le danseur - et avec lui le public – suit, non pas le fil d’une pensée, mais le fil d’un état de corps à un autre, d’une émotion à une autre, d’une mémoire à une autre. "Polder #1" est une forme performative qui se développe parallèlement à la création d’Intérieur. Crème – Acte I. Elle offre un rapport très direct au public et vient interroger autrement le travail chorégraphique.

"Corps de luttes", Laurence Pagès, compagnie du petit côté
Conception : Laurence Pagès / Interprétation : Nina Santès / Création sonore : Michel Wisniewski Corps de Luttes explore la contrainte radicale de l’apnée. Mis en tension par une impossible respiration, le corps de la danseuse en lutte contrelui-même se heurte à ses propres limites. Par le travail respiratoire, par l’apnée, et par le modelage interne des tissus, la danseuse se déforme et
se transforme, telle une sculpture vivante, surface de projection
d’imaginaires historiques ou poétiques.
© Fondation Royaumont. Programme Recherche et Composition Chorégraphiques

> LA CHAUFFERIE, SAINT-DENIS
Vendredi 11 mars à 20h30
"Bonnes nouvelles", Matthieu Hocquemiller, compagnie A contrepoil du sens
Conception, chorégraphie et vidéo : Matthieu Hocquemiller / Danse : Evguénia Chtchelkova, Ludovic Lézin, Léonardo Montecchia / Musique : Benjamin Collier / Lumière et Régie : William Guez / Costumes : Hélène Durand
Où commence et où finit l’individu ? Peut-on le délimiter ? Si oui, où couper ? Ces questions sont le fondement de Bonnes nouvelles, la nouvelle création de Matthieu Hocquemiller.
Pour répondre, le chorégraphe et ses collaborateurs déploient leurs talents d’illusionnistes et d’inventeurs.
> MAINS D’OEUVRES, SAINT-OUEN
Samedi 12 mars à 20h
"Marlon", Aude Lachaise
Conception, interprétation, texte : Aude Lachaise / Musique : Roeland Luyten / Création lumière : Alice Dussart
Pour son premier projet, la danseuse Aude Lachaise s’attaque à la conquête de nouveaux territoires ; l’écriture de texte et la dramaturgie, privilégiant une forme performative proche du one-woman show. « Le sujet de ce spectacle est le désir. Le désir sexuel, mais aussi le désir en général, le désir de vivre. Un désir tout puissant qui aliène, qui frustre. Il est incarné par Marlon Brando. C’est un prétexte pour parler de la sexualité, surtout de la mienne. L’arrière-plan, le contexte de ce solo finalement, c’est cette dichotomie, cette contradiction que je ressens entre le féminisme et le patriarcat qui l’un comme l’autre, même si c’est différemment, opprime ».
"Cette heure du matin", Leïla Gaudin, compagnie Leïla Gaudin
écrit et interprété par Leïla Gaudin / musique par Moox
Une femme sur le point de partir travailler n’y parvient pas. C’est une belle battante pleine de priorités, cette femme. Nous, français, admettons peut-être parfois les retards, mais à New-York on se fait licencier pour moins que ça. Donc elle les prend à bras-le-corps, les contretemps, jusqu’au ridicule, et même un peu plus loin. Là où on se dit qu’un matin comme les autres peut devenir une exception.
Entre gestes et mouvements, paroles et sons, cette heure du matin célèbre un quotidien.

> THEATRE BERTHELOT, MONTREUIL
samedi 19 mars à 20h30
"Yonder Woman", Anne Nguyen*, compagnie par Terre
Chorégraphe : Anne Nguyen / Interprètes : Anne Nguyen, Valentine
Nagata-Ramos / Conseil artistique : Vincent Rivard / Musique (création originale) : Benjamin Magnin / Création lumière : Ydir Acef / Création costumes : Catherine Petit
L’espace se referme sur deux femmes, prises au piège comme dans une cage à rats. Elles avancent,
déterminées, dans un jeu de dépassements, de contacts, de tensions. Un regard semble peser sur elles… Conçu comme une expérience scientifique dont le public serait l’observateur, ou l’initiateur, Yonder Woman propose une réflexion sur l’expectation et la performance. Une mise en perspectivesde la femme, et de l’existence moderne.

"Mine", Ivan Fatjo et Pascal Merighi
Créé et interprété par Ivan Fatjo - Pascal Merighi / Musique: Akosh Szelevényi, Gildas Etevenard
/Création lumière: Lionel Colet
Ils sont deux, s’amusent avec un peu d'air, un jeu de chasse et de mimétisme. Acceptant d'être ensemble pour exister, ressentant toujours le besoin de revenir, de se rapprocher. L'un demande le silence, l'autre fouille. Il est temps de reprendre son souffle. C'est une construction scénique issue d'improvisations dirigées involontairement par l'écoute des deux artistes.
> ESPACE GEORGES SIMENON, ROSNY-SOUS-BOIS
Mercredi 23 mars à 20h30
"ON I oFF", Philippe Ménard*, compagnie pm
Chorégraphie Philippe Ménard / Interprétation Stefania Brannetti, Stéphane Couturas, Philippe
Ménard /Dispositif Pierre Lenczner /Musique COH, Nachtplank, Noto, Pixel, Amon Tobin, Marilyn Manson
oN oFF est une aventure pour trois danseurs.
Maîtres de la lumière et du son, les interprètes jouent avec des rouleaux de scotch blanc.
Ils fabriquent une aire de jeu dans laquelle le rapport à l'espace et la relation à l'autre composent des pistes d'investigation.
À l'intérieur de ce « labyrinthe », les danseurs sont confrontés aux espaces restreints, aux voies prédéfinies et à leurs propres limites. En contrepoint, apparaît un espace « off » dans lequel, tour à tour, ils peuvent être spectateurs ou acteurs du spectacle…
>THEATRE DU FIL DE L’EAU, PANTIN
Mercredi 30 mars à 19h 30
"L.N", Magali B, compagnie Magali B
Conception, chorégraphie : Magali B / Création images : Jean-François Gautier / musique : Mika
Vainio ( ONKO) / Interprète : Hélène Lebeau
Parce que la danse est une expérience qui signifie l’humanisation du monde, parce qu’elle exprime la vie qui insiste dans les corps, le mouvement, l’énergie, le physique, le palpable, le concret, la matière… Parce que le corps en mouvement est une expérience poétique, une charge d’émotions qui touche l’humain, les êtres que nous sommes… Parce que la réflexion autour d’une création est riche d’enseignements, de partage, d’évolution de soi. Parce que jouer, défier, ré inventer… Créer… Pour ces raisons et bien d’autres encore, mon intention, par l’écriture chorégraphique, tend vers la vie.

"Fractale", Emmanuelle Vo-Dinh, compagnie Sui generis
Conception : Emmanuelle Vo-Dinh / Interprétation : Alexia Bigot,
Maeva Cunci, Cyril Geeroms / Musique : Henri Purcell, La mort de Didon / Lumières : Françoise Michel
Ce trio explore à partir d’un schéma corporel simple l’idée d’un processus de ramifications infinies dans une progression elle-même sans fin. En s’appuyant sur la musique d’Henri Purcell (Didon et Enée), les trois danseurs revisitent la spiritualité de cette pièce dans la perspective d’un choeur chorégraphique.
A 21h

"MAYDAY MAYDAY", Philippe Ménard*, compagnie pm(I wanna dance all night SOLO 2010-2011 et Ridi! Pagliaccio! SOLO 2009)
Conception, chorégraphie et interprétation : Philippe Ménard / Regard dramaturgique : Carole
Thibaut / Création lumière : Cyril Leclerc / Assistante artistique : Corinne Hadjadj
MAYDAY MAYDAY est conçu sous la forme d’un diptyque que le chorégraphe lance, comme on lancerait un SOS : d’abord par le filtre d’une résistance qui nous pousse à sortir nos monstres (Ridi ! Pagliaccio ! SOLO 2009), puis par une tentative de réappropriation de ses espaces intimes comme une façon d’être au monde (I wanna dance all night SOLO 2010-2011).

> THEATRE DU FIL DE L’EAU, PANTIN
Samedi 2 avril 19h30
"Assemblements", Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot, Compagnie ex nihilo
Il est vieux, et c’est domage : il serait utile ; car assemblage et assemblée signifient les chôses et les personnes assemblées. Nous n’avons point de mot pour exprimer l’action d’assembler. » Jean-
François Féraud : Dictionnaire critique de la langue française (Marseille, Mossy 1787-1788 - page A173a). Deux personnages s’installent dans un moment chaotique, entre deux, pour jouer la rencontre et l’échange. Des vêtements, des objets, des choses, des tas, ici…Retrouver un itinéraire commun… je ne sais pas.

"Kitchen attitude", Fred Werlé, compagnie iritis
avec Alessandro Sabatini et Frédéric Werlé / dans les lumières de Pierre Montessuit
Deux hommes se partagent l’espace scénique. Ils sont sur scène, dans la répétition d'un prochain spectacle, dans les minutes avant l’ouverture du rideau, ou dans les minutes qui suivent la fin du spectacle...
21h
"si 3=3", Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot, Compagnie ex nihilo
Avec Jean Antoine Bigot, Jean Marc Fillet, Corinne Pontana
Un mur pour entreposer et se poser. Trois planches contre le mur. Trois personnes en jeu, sans rivalité, en parallèle. Elles cherchent leur place entre ces objets, à exister avec eux contre le mur. Dans le mélange et les chocs, ils cherchent la solution de l’équation. Un jeu de relation à l’autre, à l’objet, au plan. Une équation sous condition…

"Méli mélo II (le retour) ou la danse dans tous ses états", Philippe Lafeuille, compagnie Chicos Mambo
Chorégraphie - Mise en scène : Philippe Lafeuille / Interprètes : Anthony Couroyer, Philippe Lafeuille, Xavier Senez, Philippe Tarride / Manipulatrice : Julie Sicher / Costumes : Ramón Ivars, Mine Barral Vergez, Entresorts / Perruques : Carlos Montosa, Nicole Princet / Lumières : Dominique Mabileau Bande-son : Philippe Lafeuille assisté de Bruno Courtin
Méli-Mélo II (le retour) est une invitation dans le monde de la danse, dans son sens le plus ample. Un spectacle qui propose le mouvement à tous prix, sous toutes ses formes, dans toutes les directions : danse contemporaine, classique, aquatique, ethnique, technique, rythmique, antique, cybernétique, parodique, humoristique. Qui est qui ? Homme ou femme ? Beau ou laid ? Guapo o feo ? Moderne ou ancien ? Valse ou mambo ? Classique ou contemporain ? Noir ou blanc ? Gentil ou méchant ? Let’s face the music and dance.
AUTOUR DU FESTIVAL
Samedi 26 et dimanche 27 mars
Stage « Danser dans l’univers urbain » avec la compagnie ex nihilo à Pantin.
Ouvert aux amateurs adultes et adolescents.
* Anne Nguyen et Philippe Ménard, en résidence aux Journées Danse Dense, mènent des actions
culturelles dans le cadre du dispositif « la culture et l’art au collège » initié par le Conseil Général de Seine-Saint-Denis.
INFORMATIONS PRATIQUES
Réservez au moins 3 spectacles, payez 8€ la place
Théâtre Berthelot
6 rue Marcelin Berthelot 93100 Montreuil / 01 41 72 10 35
M° 9 Croix-de-Chavaux / Bus n°102, 122 et 127
Tarifs : 12€/réduit 8€/privilège et – de 12 ans 6€
La Chaufferie – DCA
10 bis avenue Maurice Thorez 93200 Saint-Denis / 01 48 13 05 06
M° ligne 13, station St Denis Basilique / RER D Gare de St Denis
Plan d’accès : www.cie-dca.com
Tarifs : 10€/ réduit 8€
Mains d’Oeuvres
1, rue Charles Garnier 93 400 Saint-Ouen / 01 40 11 25 25
M°4 Porte de Clignancourt ou M°13 Garibaldi / Bus 85 arrêt Paul Bert
Tarifs : 12€/8€
Espace Georges Simenon
Place Carnot - 93110 Rosny-sous-Bois / 01 48 12 27 80
RER E Rosny sous Bois / Bus : 116, 118, 121, 143 / en voiture : de Paris par l’A3 dir Lille, sortie Rosny centre, ou par l’A4 sortie A 86 dir Lille-Charles de Gaulle sortie Rosny centre.
Tarifs : 14€/ réduit 10€ / privilège 8€/ - de 12 ans 5€
Théâtre du fil de l’eau
20 rue Delizy 93500 Pantin
M°5 Eglise de Pantin
Tarifs : 16€ la soirée complète/une partie : 14€/ réduit 10€ / privilège 8€/ - de 12 ans 5€
RESERVATIONS ET RENSEIGNEMENTS AU 01 49 15 40 24
L’ÉQUIPE DES JOURNÉES DANSE DENSE
Annette Jeannot direction / Jean François Munnier coordination de projets et conseil artistique /
Corinne Hadjadj actions artistiques / Aurélia Boitier administration
Journées Danse Dense – 2, rue Sadi Carnot – 93500 Pantin / 01.49.15.40.24
contacts@dansedense.fr / www.dansedense.fr
Les Journées Danse Dense sont subventionnées par la Ville de Pantin, le Département de la Seine-
Saint-Denis et la DRAC Ile-de-France. Avec le soutien de l’ADAMI et de l’ONDA.
Il y a là quelques petits bijoux à découvrir...
Valérie Gros-Dubois