Les lauréats du XXe Concours Chorégraphique Jeunes Compagnies à Sens le 11 octobre dernier

Le XXème Concours Chorégraphique Jeunes Compagnies s'est bien déroulé le samedi 11 octobre 2014 sous la présidence du Jury de Thierry Malandain à Sens (1 heure de Paris).
Le Jury au complet composé de 11 professionnels du domaine chorégraphique et culturel s'est accordé pour dire que cette édition avait vu le niveau technique des compagnies sélectionnées monter d'un cran considérable au regard des deux années précédentes. 

Par ailleurs, ils sont également tombés d'accord sur le fait qu'il est complexe de juger d'une réelle écriture chorégraphique et scénique sur la base de duos (7 sur 12 propositions retenues - 40 dossiers reçus et traités par le Comité de sélection dirigé par le directeur artistique  des Synodales Bruno Bouché).

Après une délibération d'une heure trente, voici les lauréats 2014 :

1er Prix Résidence Création Conseil Régional de Bourgogne et Synodales, 4 200 euros : Cie Gil C. Harush, Tel Aviv
Cie Gil C. Harush - Crédit Alexis Komenda

Prix Dantza Biarritz accompagné d'une résidence à Biarritz, 3500 euros : Cie Christine Hassid Project, Bordeaux
 Cie Christine Hassid Project - crédit Damien Laurac

2ème Prix, Ville de Sens, 1 000 euros : La Sphère Bleue  Nans PiersonParis
3ème Prix, Conseil Général de l'Yonne, 700 euros : En Lacets, Reims
4ème Prix Synodales, 500 euros : Funamboli  Fabio Crestale
Paris
Prix de La Bergerie de Soffin, Résidence : En Lacets et Favela Cie R.D.HH, Reims
Prix Entrez dans la danse/Mouvance d'Arts, diffusion : Cie Christine Hassid Project, Bordeaux et Cie La Sphère Bleue  Nans PiersonParis
Prix du public : Trans(en)danse

Jackie Burvingt aurait été fière de cette nouvelle édition et se serait régalée !!! Nous aussi !
Valérie Gros-Dubois



Découvrez la programmation Le Colombier / Bagnolet en octobre 2014

LES 17 ET 18 OCTOBRE À 20H30 / LE 19 OCTOBRE À 17H 
Présentation du Laboratoire d'écriture

LE PAVILLON SUÉDOIS
Auteur : Gilles Sampieri
Avec : Hamza Ali, Lizzie Clavereau, Agnès Fin, Aurélien Guignier, Boris Laroche, Karine Lombardo, Céline Marguerie, Oussama Thiam, Walter Thompson
Lumière : Melchior Delaunay

Un site industriel dévasté et cloisonné par une activité secrète. Une cité portuaire, avec des trafiquants de toutes nationalités. Le pavillon suédois y flotte comme un de ces drapeaux du paradis fiscal. Pendant la fuite absurde et décadente d'un grand patron, sa femme et sa fille vont tenter d'accompagner les ex-employés dans leur révolution.

Comment subissons-nous, produisons-nous, modifions-nous les systèmes d'exclusions dans nos lieux de travail. Quelles organisations peuvent se mettre en place quand l'État ne peut plus assumer son rôle social. Pour envisager les possibilités d'un nouveau mode de vie, ces résidents du travail illégal provoquent et subissent les contradictions et les décalages de nos entreprises modernes.

Gilles Sampieri a entamé, au mois de septembre 2011, l’écriture d’un projet théâtral qui réunit quinze comédiens professionnels et amateurs. Ce diptyque «Les résidents part 1 et 2», est le résultat d’un parcours de création autour des thématiques «Appropriation, Territoires de vie & Identités contemporaines». Après une première préfiguration, en novembre 2012, nous vous présentons la deuxième partie des matériaux écrits et la traduction scénique de ce qui est vite devenu pour nous un passionnant parcours d’écritures.

TARIFS / 
Plein : 8€
Habitants Est-Ensemble : 5€
Bagnolet, Bobigny, Le Pré-St-Gervais, Les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin, Romainville

Laboratoire “Improviser - Écrire - Réaliser”
Atelier de théâtre adulte ouvert à tous
De novembre à juin, tous les jeudis de 19h30 à 22h30
Inscriptions le 06 novembre à 19h


DU 22 AU 26 OCTOBRE / Mercredi au samedi à 20h30 - Dimanche à 17h
CRÉATION DE TEXTE

NUIT
Écriture et Mise en scène : Guillaume Barbot
Avec : Yannik Landrein,  Zoon Besse, Sophie Lenoir, Elise Marie, Johan Bichot
Collaboration artistique : Céline Champinot
Compositeur et musicien (sur le plateau) : Pierre Marie Braye-Weppe
Scénographie, masques et costumes : Cécilia Delestre, assistée de Camille Testa
Lumière : Maryse Gautier
Création son : Julien De la Haute Maison
Régie : Henri Leroi, Franck Pellé et Sonia Virly
Bureau de production et diffusion : La Magnanerie

Création pour 4 acteurs, 1 danseur et 1 musicien
À partir de nos souvenirs du film culte "La Nuit du chasseur", nous traduisons par une écriture de plateau et un univers visuel et corporel le choc et les sensations qui nous ont marqués. Du conte nocturne d'une enfance volée nous plongeons dans le cauchemar du fils confronté à son double inavoué : un étrange prêcheur... Course poursuite dans sa mémoire, dans nos mémoires, avec quelques mots, presque rien, accrochés à nos peurs ancestrales, à ces valeurs qui se renversent, à cette chasse qui ne s'arrête plus. 

Voici un tableau de famille qui se compose et se décompose, trois nuits successives où cauchemars souvenirs et réalités s’entrecroisent, et qui ouvrent à une  question finale : que peuvent devenir ces enfants brûlés que l’on a privé de parole ? quelle réponse apporteront-ils à un monde où la valeur de l'argent a écrasé les valeurs spirituelles et humaines ? 

Coproduction : La Ferme du Buisson (SN de Marne La Vallée), Théâtre des Deux Rives (Charenton), Théâtre de St Maur, Théâtre de Rueil Malmaison.
Avec les soutiens : DRAC Île-de-France, Le Grand T (Nantes), Théâtre de Choisy le Roi, JTN, Conseil Général 77, Conseil Général 94, Spedidam.

TARIFS :
Plein : 13€
Réduit : 9€ Intermittent, chômeur, étudiant, moins de 25 ans, Rmiste
Bagnoletais : 8€
Moins de 18 ans : 4,5€
Moins de 8 ans : exonéré

LE COLOMBIER
20 rue Marie-Anne Colombier
93170 Bagnolet

Accès/
À 7 min à pied du métro Gallieni (Ligne 3)
À Pied// En sortant du métro, prendre à gauche, l'avenue Général de Gaulle. Continuer tout droit dans la rue Sadi carnot. Prendre, au feu à gauche, la rue Marie-Anne Colombier.
En vélib// Place de la Mairie et rue Raoul Berton
En bus // 76 ou 122 arrêt "Eglise". 318 arrêt "M-A Colombier"
En voiture // Sortir Porte de Bagnolet. Suivre direction centre ville - Mairie. Du parking de la mairie, à pied, prendre la rue Charles Graindorge, jusqu'à la rue M-A Colombier.

Exposition des photographies de Pierre-Elie de Pibrac du 10 octobre au 23 novembre 2014 : Galerie Clémentine de la Féronnière Paris 4e

Exposition des photographies de Pierre-Elie de Pibrac liée à la sortie de l'ouvrage In Situ, Dans les coulisses de l'Opéra de Paris du même photographe.

Du 10 octobre au 23 novembre 2014

Lieu : Galerie Clémentine de la Féronnière 51, rue saint-Louis-en-l’île - 75004 Paris [Deuxième cour] Ouvert du mardi au samedi de 12h00 à 20h00

Ce magnifique ouvrage de Pierre-Elie de Pibrac est introduit par Brigitte Lefèvre et conclu par Benjamin Millepied. Il est agrémenté de photos rares et exceptionnelles et d'entretiens exclusifs avec les plus grandes étoiles dont Aurélie Dupont, Eleonora Abbagnato et Nicolas Le Riche.

Il sera en librairie dès le 9 octobre 2014  (24 x 32,5 cm - 368 pages - 978-2-9542-2663-7 - 72 €)

"In situ (du latin, qui signifie littéralement « sur place ») évoque l’immersion du photographe au sein du corps de ballet de l’Opéra de Paris,  pendant la saison 2013-2014. Jour après jour, l’artiste partage la vie et l’intimité des danseurs et des différents acteurs de ce lieu mythique.  Y naissent trois séries de photographies qui se font écho. 



In situ I : confidences - Crédit Pierre-Elie de Pibrac
In situ I : confidences, regroupe des images noir et blanc en un témoignage unique des émotions captées depuis les coulisses. Utilisant un appareil télémétrique, ayant la qualité de n’émettre aucun bruit à la prise de vue, le photographe se sert d’un objectif fixe de 23 mm l’obligeant à être très proche des danseurs. En résulte ainsi une photographie brute, franche, sans filtre. Envahi par l’énergie qui se dégage des corps des danseurs sur scène,  le photographe parvient à transmettre cette force dans la série 
In situ II :  catharsis - Crédit Pierre-Elie de Pibrac

In situ II :  catharsis, en modifiant son appareil et un objectif des années 1950. Ainsi, à travers la lumière dégagée des mouvements, se recréent des formes, plus ou moins abstraites, en couleur, d’une puissance extrême : un cri de douleur, un cygne qui prend son envol… chaque photographie est le dessin de l’empreinte d’un danseur. 







In situ III : analogia - Crédit Pierre-Elie de Pibrac
Enfin dans la dernière série In situ III : analogia, ce sont les murs du palais Garnier qui prennent toute leur puissance. Le photographe utilise une chambre photographique trafiquée pour illustrer la grandeur et la force de ces lieux. Il remet en scène dans une série de 14 tableaux les danseurs au cœur de cette architecture qui influence leur vie, depuis l’école de danse, aux adieux des étoiles. L’ensemble In situ compose avec un sujet mythique, n’ayant jamais été  exploré de cette manière : l’intimité entretenue avec le sujet et son environnement, la prise de conscience des forces présentes et l’influence des murs du palais Garnier sur ses danseurs. Enfin, l’originalité technique à laquelle  le photographe recourt constamment, nous mène face à une œuvre inédite.


Né à Paris en 1983, Pierre-Elie de Pibrac commence à travailler sur le médium photographique en 2005, avec une série de paysages urbains sur New York. Ses premiers documents photographiques remporteront de nombreux concours, lui permettant de pousser plus loin son travail et d’exposer notamment aux Trans- photographiques de Lille (2007), au musée de l’Elysée à Lausanne (2006) et au Grand Palais (2013). Ses deux derniers projets (American Showcase, 2010 et Real Life Super Heroes, 2012) ont été publiés et exposés en France et  à l’étranger.
Pierre-Elie entretient un rapport très complet  à la photographie : de tradition argentique  (influencé notamment par le travail de son grand-père Paul de Cordon), il choisit avec soin ses appareils photographiques et adapte sa  distance au sujet. Chacun de ses projets revêt un genre particulier – le reportage-document, l’abstraction picturale, la mise en scène plasticienne – poussé à l’extrême dans le choix de l’appareil, du cadrage, de l’éclairage, de la  composition, du support d’impression jusqu’à la  scénographie. Chaque série, dans sa parfaite cohérence, se met au service de ses émotions, les retranscrivant avec justesse et précision."

Si vous êtes passionnés(es) de danse, qui plus est de danse classique, c'est ouvrage doit trouver sa place dans votre espace intime : ce ne sont pas simplement des clichés, mais des œuvres d'art avec des témoignages authentiques et sensibles. Un présent précieux pour soi ou pour ceux que vous aimez... Pourquoi pas un cadeau de Noël ?

Valérie Gros-Dubois

Voir le site : http://www.pierreeliedepibrac.com/


Atelier de danse contemporaine de Marianne Rachmuhl, interprète et complice de Pierre Doussaint à Montreuil

Atelier de danse contemporaine, dirigé par Marianne Rachmuhl.

Pour qui  ? Adultes tous niveaux
Quand ? Le jeudi de 19h à 20h30.
Lieu : Théâtre du Mouvement, 9 rue des Caillots à Montreuil (à 5mn du métro Mairie de Montreuil, ligne 9)
(bus 115,102,121,129,122)
Traversez la cour. Poussez la porte verte et entrez.
Le studio est la 2ème porte à droite dans le couloir.

Marianne Rachmuhl a un parcours qui  mêle création, recherche et transmission. Elle a étudié au Centre National de Danse Contemporaine d’Angers puis s ’est perfectionnée à New York. Elle s’est formée à différentes techniques de danse, ainsi qu’à un travail vocal et théâtral. Elle a dansé avec Régine Chopinot, Jésus Hidalgo ou Enrique Pardo mais c’est en travaillant  de nombreuses années avec Pierre Doussaint qu’elle a développé sa danse. Au fil des créations, elle a abordé le flamenco, la danse africaine, le chant, et a développé le clown chorégraphique. Au sein de l’association Kor–Agma, avec Nathalie Tissot, elles créé plusieurs spectacles tant sur la scène que dans la rue .


contact: 0632907142

Superbe danseuse, excellente pédagogue, n'hésitez pas à découvrir ses ateliers... Vous en sortirez enrichis(es) tant techniquement, qu' humainement et elle ne laissera pas de côté votre créativité !

Valérie Gros-Dubois


Ce soir 6 octobre à Micadanses : Compagnie d'Eva Klimackova avec la compagnie e7ka




   Renseignements / réservations :  www.micadanses.com
                tel :   01 42 74 46 00    /   mail  :  cie.e7ka@gmail.com
 
                Eva Klimackova - cie E7KA
                Slovakia / France
                +33/ 662 87 15 60

Rê(v)alisable ou tentative d’un commun (hors du commun) : Tenter une initiative commune pour un regroupement massif et coopératif des acteurs chorégraphiques / Proposition de Philippe Madala.

Rê(v)alisable ou tentative d’un commun (hors du commun)

piedspieds"Tenter une initiative commune pour un regroupement massif et coopératif des acteurs chorégraphiques.
Alors que le secteur chorégraphique est en mutation, ne devrions-nous pas être parmi les acteurs et les auteurs de ces changements ? Il faut nous réunir pour partager nos constats, échanger et entendre nos retours, recouper nos informations, imaginer et apporter nos idées, et les diffuser !
Les sujets et ateliers de réflexions et propositions sur lesquels nous tenterons d’apporter une parole commune pourraient être :
  • la baisse et la répartition des budgets alloués,
  • les règles claires sur les candidatures, nominations, fonctionnements des institutions et leurs structures et labels,
  • la déontologie des lieux et leurs pratiques : charte, objectifs et règles existante et celles à initier,
  • la place de la danse dans les propositions, négociations avec le ministère et ses tutelles (de façon autonome plus représentative, pas sous couvert unique des syndicats, ou de l’ACCN ou l’A-CDC, des scènes nationales ou conventionnées…),
  • l’absence de l’espace critique des acteurs de la danse,
  • L’évaluation et l’expertise des oeuvres chorégraphiques,
  • La production et la diffusion chorégraphique,
  • la reconnaissance et place de la danse dans les conservatoires (au même niveau que la musique et pas sous tutelle),
  • etc…
La Danse, malgré l’exemplarité de sa diversité chorégraphique et sa structuration progressiste n’a pas été capable de faire évoluer les structures de l’institution qui disons-le, évoquent la cour de Louis XIV… Notre ministère avec sa délégation à la danse, les collectivités territoriales œuvrent encore dans une structure majoritairement pyramidale qui refuse les co-directions, la coopération, la « démocratisation » des idées. Ce sont souvent ceux-là même qui méprisent l’évidente diversité chorégraphique en pratiquant l’entre-soi et en affichant un « hermétisme » parfois suffisant, voire humiliant.
Que pouvons-nous imaginer ensemble ? Ensemble, c’est-à-dire à plusieurs, choralement ? Sans trop s’attarder sur les parcours individuels, les problématiques inhérentes et quotidiennes que nous rencontrons, il s’agit, ici, maintenant, de trouver une perspective fédératrice pour laquelle nous pourrons enfin nous mobiliser solidement et solidairement, en respectant notre diversité artistique et nos différentes structures.
Tout est à créer… nous devons imaginer notre organisation, participer à sa génération, apporter les paroles, les analyses, créer et valider des propositions communes (ou pour commencer, majoritaires), et ainsi tenter des actions mobilisatrices et utiles pour tous.
Les sujets rassembleurs ou mobillisateurs et surtout nécessaires ne manquent pas afin d’inciter de véritables mouvements d’une majorité d’individus dans une posture affirmée qu’une autre politique chorégraphique est possible."
Philippe Madala avec la complicité et le regard de Mié Coquempot – 30 avril 2014 - toujours d'actualité
Vos réponses et contributions à pmadala@wanadoo.fr

Danse orientale : Mouvements et Conscience du Corps > Stage le 12 octobre 2014 avec En Alméevie


Le prochain stage Danse orientale : Mouvements et Conscience du Corps aura lieu Dimanche 12 octobre 2014 de 10h à 13h.
Lors de ce stage nous explorerons la femme sauvage présente en chacune de nous. Elle est parfois enfouie très profondément, parfois bâillonnée mais toujours prête à surgir.
Elle est intuitive, curieuse. C’est la femme qui chante, qui rit, qui danse, qui joue, etc.
La femme sauvage est inventive et créative. C’est la femme qui se fait une vie cousue main, une vie porteuse de sens.

Lieu : Espace Oxygène 4, impasse Cordon-Boussard 75020 (au niveau du 247, rue des Pyrénées). M°Gambetta. Bus 26, 60, 61, 64, 69, 102

Tarifs : 35€/stage   /  Forfait annuel : 225€/9 stages (25€/stage)
(+ 10€ d’adhésion à l’association En Alméevie pour les non-adhérentes à Espace Oxygène)

 A noter les dates des prochains stages : 16/11, 14/12, 11/1, 8/2, 15/3, 12/4, 10/5, 7/6.
  
Informations et Inscriptions auprès de Sophie 06 34 05 28 01

Appel à participants bénévoles pour la création "L'air du temps" avec Les Orpailleurs

Avec le début de l'automne, le projet de la Compagnie Les Orpailleurs "L'air du temps" prends son envol.
Cette création s'adresse à tous ceux qui on envie de partager une production chorégraphique, un moment  d'exploration et de jeu chorégraphique autour de tout ce qui relie la danse des enfants et celle des adultes.

Après le succès du Boléro, La compagnie Les Orpailleurs continue l'aventure avec Le concerto pour violon de Philip Glass, avec les chorégraphes Laurence Bertagnol et Jean-Christophe Bleton.




Même si le premier atelier a démarré le 4 octobre 2014, vous pouvez encore vous inscrire : il reste  10 places !

Atelier de création chorégraphique intergénérationnel (à partir de 8 ans)  : Micadanses rue Geoffroy L'Asnier 75004 Paris.

Informations et inscriptions auprès de Laurence Bertagnol 06 81 43 56 05 ou laurencebertagnol@orange.fr
www.lesorpailleurs.com

Argument :
"Quelque chose se passe, et du moment que cela a commencé, rien ne sera plus pareil.
Quelque chose se passe. Ou rien ne se passe. Un corps entre en mouvement. Ou reste immobile. S;il se meut, quelque chose commence. S'il reste immobile quelque chose commence aussi."
Paul Auster
ESPACE, une danse pour être lue à haute voix. (Extrait)

Ce travail débouchera sur des représentations le premier week-end de juin 2015 à Micadanses et dans le cadre de la 12e édition d'Entrez dans la danse, Fête de la danse.
Valérie Gros-Dubois

16e BIENNALE DE LA DANSE A LYON : Un véritable succès !









Un véritable succès !
Vous avez été 100 600 à venir assister aux spectacles, 17 350 à participer aux ateliers, résidences, et rencontres proposés par la Biennale. Sans oublier les 16 000 personnes qui ont dansé la Samba Tarentelle à l'unisson à l'issue du Défilé. 
Cette 16e édition s'est achève en beauté !

Voir en images


samba