Affichage des articles dont le libellé est Vidéo. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Vidéo. Afficher tous les articles

Des news de la Compagnie Christine Hassid Project ! Reportage vidéo

Beldurra - Crédit Christine Hassid Project
Vous les avez vus lors de la 12e édition d'Entrez dans la danse, Fête de la danse à Paris le 7 juin dernier, ou encore au Temps d'aimer à Biarritz ou sur le plateau de (Re)Connaissance à Meylan... 
Un trio de garçons plein de puissance, de délicatesse et de connivence dirigé par Christine Hassid, une chorégraphe pleine de talents, une personnalité "belle et bien trempée".
Comme vous le savez, j'aime donner des nouvelles des compagnies que je programme. 

Je vous invite donc à découvrir la magnifique expérience de reprises de rôles que que la compagnie Christine Hassid Project partage avec nous tous. 
Christine et ses danseurs font ainsi oeuvre de transmission : transmission généreuse de la gestuelle aux trois nouveaux artistes par les trois "anciens", transmission de la démarche de reprise de rôle, transmission des ressentis des uns et des autres, transmission des nécessités de la compagnie, des interprètes et du métier de danseur...

C'est superbe, tendre et fort :

http://www.dailymotion.com/video/x3esnf6_beldurra-reprises-de-roles_creation

Valérie Gros-Dubois

DANCERS, sortie du DVD le mardi 6 octobre 2015

LE PARCOURS TOUCHANT DE TROIS JEUNES DANSEURS PROMETTEURS


TROIS AMIS, UN RÊVE COMMUN : DEVENIR DANSEUR ÉTOILE
Inséparables et complices depuis l’enfance, Lukas, Syvert et Torgeir sont trois jeunes danseurs qui partagent le même rêve : intégrer l’Académie de ballet d’Oslo. Mais les places sont chères et les opportunités rares. Acharnés à réussir, à se perfectionner et à faire de leur corps l’instrument parfait, ils nous emmènent dans leur quotidien rythmé par la dureté des entraînements et le stress des auditions. Autant d’épreuves qu’ils sont prêts à surmonter pour, un jour, devenir danseur étoile.

BONUS
• Captation complète d’une audition (8 min.) 
• Captation du Prix de Lausanne (13 min.) 
• Scènes coupées (14mn.)

Sortie : 6 octobre 2015   
Durée : 73 min  
VO norvégienne, sous-titres français 

Un film rare par son humanité sur un univers méconnu, que l’on imagine souvent à tord réservé aux femmes Un esthétisme remarquable qui souligne la beauté de la technique gestuelle comme celle de la démarche de ces trois jeunes danseurs. Ils poursuivent leur rêve avec opiniâtreté et une discipline de fer à laquelle ils soumettent leur corps et leur esprit. Ils apprennent en chemin l'engagement qu'une telle passion réclame et nous avec eux.

Valérie Gros-Dubois

Web série dansée "Le Corps de la Ville" : un concept et des vidéos à découvrir tout de suite !


Freddy Houdekindo - Crédit Nicolas Habas

Le Corps de la Ville est une web série dansée dont je suis tombée amoureuse instantanément, car, dans son genre, ce projet devenu concret traverse toutes les valeurs que je défends également par le biais de l'événement Entrez dans la danse, Fête de la danse qui se déroule dans l'espace urbain tous les 1ers dimanches de juin à Paris.

La qualité poétique de ces images capte à la fois la pulsation du lieu choisi, des habitants qui le traversent, du danseur à l'écoute de la vie extérieure et intérieure... nos sens sont en éveil, à l'affût, affûtés, réceptifs à la beauté, à l'ordinaire du quotidien magnifié. C'est toute l'équipe de cette aventure que je salue, car je sais ce qu'il faut d’opiniâtreté pour passer du projet à sa concrétisation !

Le principe de la série est simple : Un lieu dans la ville, un danseur, un film (de deux à quatre minutes).



Voici ce qu'en dit l'Association Un Poil Court qui a conçu ce projet :

Le Corps de la Ville est un projet collaboratif ouvert sur la ville. Ainsi, il ne s’agit pas simplement de s’approprier un lieu, mais d’apprendre à le connaître par l’usage et par l’intermédiaire de ceux qui y vivent, d'en révéler la poésie déjà présente. 

Ce projet met en avant la rencontre entre un danseur « unique », libre de s’approprier un lieu qui a lui aussi sa personnalité et son histoire, et un cinéaste, porteur d’une qualité de présence dans un lieu donné, à un moment donné. C’est cette rencontre entre un lieu, un danseur et l’œil du cinéaste qui va devenir pérenne par le biais du film .

Pensée pour la caméra et élaborée sur place en amont du tournage, la chorégraphie intégrera systématiquement l’éventualité d’une interaction avec les passants , quitte à provoquer la rencontre. L’objectif est de générer des formes courtes et séduisantes, porteuses d’une poésie empreinte de quotidien : des bulles de savon susceptibles de parler à chacun, à commencer par les usagers du lieu. 

Les films courts mis bout à bout constitueront une collection, véritable voyage à travers la ville, Lyon dans un premier temps, puis à travers la France et l’Europe. Il s’agit ici de mettre en valeur le patrimoine architectural qui a une histoire sociale et humaine, et de revaloriser certains lieux oubliés ou dénigrés , en apportant une nouvelle dimension à leur mémoire et un regard neuf sur l’expérience vécue par les usagers. 

Parti pris esthétique Cette collection est envisagée comme un travail de plasticien, d’abord pour l’exigence de découpage, qui redéfinit l’espace donné par le choix du cadre, ensuite via le travail sur les lignes, sur les couleurs, sur les effets de matière et de profondeur à l’intérieur du cadre. Ainsi des peintres, des photographes et des cinéastes inspirent l’approche formelle de chaque épisode : par exemple Mondrian pour le N°0, Klein pour le N°2 ...

La plateforme interactive / la web série 

Les épisodes seront progressivement intégrés au site lecorpsdelaville.com qui se présentera sous la forme d’une carte géographique interactive, signalant aux visiteurs les lieux de tournages.

Sur ces lieux de tournages seront disposés des flash codes. Il suffira de les lire avec son téléphone portable pour être redirigé vers la vidéo réalisée sur le lieu, pour ensuite avoir accès à l’ensemble de la collection sur le site lui-même et se balader ainsi sur tous les lieux investis en France et en Europe.

Les spectateurs auront aussi la possibilité de commenter et de partager les films.

De plus, les usagers du site auront la possibilité de poster leur propre film, leur permettant ainsi de partager leur propre lecture d’un lieu.

Dispositif de tournage 
Les outils seront ceux du documentaire : un ingénieur du son et un réalisateur/cadreur. Les moyens seront légers : caméra DSLR et lumière naturelle, pour l’essentiel. Avec deux intérêts majeurs : la réactivité et la discrétion du dispositif, pour tirer le meilleur parti des interactions potentielles avec les passants et anticiper au mieux les évolutions des lumières naturelles. 

La musique sera composée après le tournage, sur la base d’un premier montage, qu’elle contribuera à faire évoluer. Elle ne prendra cependant pas une place définitive : une version sonore mais sans musique sera conservée pour chaque épisode et offrira la possibilité de diffuser les films sous forme de ciné concert, restant ouverts ainsi à de nouveaux échanges avec des artistes créant dans les lieux de résidence ou les villes investies.

Nicolas Habas, réalisateur et directeur artistique 

Autodidacte, Nicolas Habas réalise son premier court métrage en 2000, dans le cadre d’un Défi Jeunes. En 2004, il écrit et réalise Le Mal de Claire , qui bénéficie d’une large diffusion en festivals, ainsi que d’une diffusion sur France 3. Mauvaise graine est son troisième court métrage de fiction. Nicolas écrit actuellement un long métrage et réalise des clips et des films pour les entreprises. Parallèlement, il anime des ateliers d’écriture et des workshops pour les comédiens.

Nicolas Habas dans le studio d'Un poil court © Margot Raymond
Nicolas Habas - Crédit Margot Raymond

Ce projet est pour Nicolas Habas l’opportunité d’approfondir une démarche engagée en 2006 à l’occasion du triptyque documentaire La parole en chantier , réalisé à l’occasion d’une opération de renouvellement urbain qui allait transformer la physionomie d’un quartier populaire d’Angoulême, ou il a vécu adolescent : 

« J’ai aimé cette immersion dans l’histoire récente de nos villes, je me suis attaché aux habitants rencontrés au fil de l’aventure et je suis fier du travail documentaire accompli. Aussi, je suis désireux de donner un prolongement poétique à ce travail, aujourd’hui convaincu que dire le réel dans sa brutalité factuelle ne suffit plus à dire mon empathie avec le sujet, complexe et profond, de la ville. »




Les premiers épisodes à voir absolument :

L'ÉQUIPE DU PROJET

Romain Trouillet est un jeune compositeur français actif dans la musique de film, de scène et de jeux vidéo. En 2013, il intègre la classe de composition de musique à l’image du CNSMD de Lyon, dirigée par Gilles Alonzo. L’année suivante, il reçoit plusieurs distinctions pour son travail sur le film 34°4 S d’Adriano Valerio, dont le prix « El maestro del cinéma » du festival de Cologne et le prix qualité CNC de la meilleure musique originale.

Aymeric Eustache a commencé à travailler dans le cinéma en 2000 dans les grands studios de bruitage et de mixage à Paris pendant 6 ans. Puis il a quitté le monde des grosses productions, plus attaché au développement de la culture locale. Aujourd’hui installé à Lyon, il permet aux productions d’avoir le mixeur sur le tournage puisqu’il a entre autres, ces deux casquettes, et ce, que ce soit pour des courts-métrages, des longs, des documentaires, des films d’entreprise ou pour le web.


Courts métrages, long métrages, clips vidéos, vidéo institutionnelles... Forte de ses multiples expériences Axelle Boudet est une assistante réalisatrice et Régisseuse hors pair. Dynamique, compétente et enthousiaste, Le Corps de la Ville se trouve entre de bonnes mains.


Chargée d’administration et de production du Chœur Britten qu’elle accompagnera jusqu’à sa fusion avec les Chœurs et Solistes de Lyon,Floriane Rigaud travaille à l'administation et la production des projets des compagnies Acte et Eukaryote Théâtre, du festival Mine d’Art et depuis octobre 2014 des projets du studio Un Poil Court et, notamment, Le Corps de la Ville.

Aude Caruana dessine, compose, assemble, détourne et typographie pour des institutions culturelles, des projets indépendants, des maisons d’édition...

Marion Chaudat parle de multiples langages codés, elle intègre, veille, conseille, structure et réfléchit à des solutions techniques aussi bien pour des livres numériques que pour des sites internet.


Major de promotion de l'école Supérieure des Arts Saint-Luc de Liège (Belgique) en 2013, Margot Raymond pratique la photographie de scène, le reportage et travaille pour les entreprises. Parallèlement, Margot s'occupe de la communication du studio Un poil court.

Ce projet a pour vocation de traverser la France et l'Europe, à la rencontre de ses paysages urbains et de ses habitants. N'hésitez pas à faire un don directement à l'association Un poil court.


Valérie Gros-Dubois





LeeLa Petronio et le Collectif Hip Tap Project programmés ce soir à Bezons

LeeLa Petronia est une chorégraphe dont j'apprécie la personnalité forte et le travail même si je n'ai pas encore saisi l'occasion de la programmer.
LeeLa Petronio / Collectif Hip Tap Project

Petite présentation courte
Le Hip Tap Project (percussive dance ensemble) est un collectif de danseurs et musiciens dirigé par LeeLa Petronio, référence internationale dans le monde du Tap Dance (claquettes) et membre de Stomp pendant dix ans. Sem'elles est sa dernière création : cinq femmes qui se rencontrent dans une danse percutante empreinte de jazz, de hip-hop, de tap-dance, d'afro contemporain et de groove. Conscientes de leurs paradoxes, elles s'amusent de leurs contradictions : la tendresse côtoie la dureté, la joie flirte avec la mélancolie, la solidarité se heurte à des chimères et la sonorité l'emporte. Leurs contradictions reflètent celles du monde dans lequel elles vivent et se manifestent dans cette dualité des pieds et des mains qui se lient, s'allient et s'accordent pour mettre le corps en mouvement et en musique...

Je vous invite à regarder un reportage sur la création Sem'Elles
http://www.dailymotion.com/video/x2nj2e8_sucy-backstage-n-2-sem-elles_music

Programmation du  spectacle "Sem'elles"  ce mardi 5 mai à 21h au Théâtre Paul Eluard à BEZONS. 

Bonne découverte !
Valérie Gros-Dubois

Charlotte Audureau, cinéaste de danse et photographe


Découvrez le travail de Charlotte Audureau !

Crédit Charlotte Audureau




AWAKE
Un pied effleure le parquet.
Une main fait jouer l'air entre ses doigts.
Et le corps prend son élan. Doucement il se transforme, s'élance et se soulève. Pour symboliser une renaissance, une reconstruction… un éveil !

SUR LES POINTES DE L'INDIFFERENCE
Sur les pointes de l'indifférence est un film qui danse la liberté.
Les chorégraphies prennent place dans des décors urbains originaux qui servent avec légèreté un discours sur la tolérance.
Portés par un texte poétique d’un narrateur face caméra, les danseurs virevoltent vers un avenir plein d’espoir.

PETITE BIO
Crédit Charlotte Audureau
Jeune réalisatrice, photographe et monteuse, Charlotte Audureau se spécialise dans la danse et le documentaire.

Les artistes et les hommes l'interpellent, la poussent à travailler sur des projets humanistes, favorisant toujours l'essence des êtres humains.

Ses thèmes de prédilection sont la liberté et la place de l'homme dans le monde. 

La photographie de danse et le mouvement à l'image deviennent tout naturellement ses points forts.

La danse et le cinéma sont la continuité logique de ce parcours. Elle réalise donc en 2013 le court métrage Sur les pointes de l'indifférence, un film qui danse la liberté puis Awake en 2015.

Une bande annonce et une vidéo qui donne envie de découvrir l'artiste cinéaste et photographe, son regard, sa personnalité, ce qu'elle a dire, ce qu'elle tente de saisir à travers son objectif, sa caméra. On sent dans tous les cas, une belle sensibilité, une passion et un engagement.
Valérie Gros-Dubois

DANCERS ! Captation ouverts aux danseurs... projet mené par la compagnie Bud Blumenthal


DANCERS !
CAPTATION AU THEATRE JEAN VILAR DE VITRY SUR SEINE (PARIS)
OUVERTURE DES INSCRIPTIONS
Après le succès au CND de Pantin l'année passée, nous avons le grand plaisir de revenir à Paris les 26 et 28 février 2011 au Théâtre Jean Vilar de Vitry sur Seine.
DANCERS! est une base de données interactive de séquences vidéo de danseurs professionnels de tout style et technique évoluant dans un cadre précis avec une durée fixe de 2 minutes, un choix de musique définis, un dispositif technique et scénique défini. Imaginé par Bud Blumenthal, DANCERS! veut remettre le danseur au centre, en lui permettant de mettre en valeur son propre travail artistique sans le prisme du chorégraphe.
Mais DANCERS!, c'est bien plus que cela !
C’est la possibilité de promouvoir son travail via un site Web interactif consultable gratuitement en ligne sur http://www.dancersproject.com/. Une interface permet une recherche simple, rapide et ludique de séquences avec des liens vers les artistes et la possibilité de poster des commentaires.
DANCERS ! est également une installation vidéo présentée dans des halls de théâtres ou des lieux insolites. Les films sont projetés en HD et à taille humaine, cherchant à reproduire la sensation de proximité de la représentation.
Enfin, c'est une expérience enrichissante et amusante à partager entre danseurs !
Rejoignez DANCERS! et parlez-en autour de vous !
Captation - 26 et 28 février 2011

Suivi d’une projection des précédentes captations le 28 février 2011
Lieu : Théâtre Jean Vilar de Vitry sur Seine1 Place Jean-Vilar94400 Vitry-sur-Seine
LES DETAILS ET INSCRIPTIONS SUR http://www.dancersproject.com/

"Après Béjart, le Coeur et le Courage" : sortie du film au cinéma le 19 janvier 2011

Tourné quelques mois après la disparition de Maurice Béjart, le film de la réalisatrice Arantxa Aguirre “Après Béjart, le Coeur et le Courage” pose la question de l’héritage laissé par son créateur au Béjart Ballet Lausanne. Comment continuer à transmettre l’esprit du maître, ses idées, ses valeurs ? C’est sous l’impulsion de son ancien élève et successeur, Gil Roman, que l'oeuvre de création se poursuit, sans Béjart, mais avec toute la fougue et la ténacité de la Compagnie.
J'ai eu la joie et l'honneur d'assister à l'avant-première d' "Après Béjart" ce mardi 4 janvier en présence de la réalisatrice de ce film-documentaire, Arantxa Aguirre et de Gil Roman, successeur de Maurice Béjart.

Ce film est traité avec finesse, une intériorité très forte, une proximité rare, un amour réel pour Maurice Béjart, son oeuvre et un désir ardent d'accompagner Gil Roman dans sa tâche immense de transmission d'un répertoire unique au monde et de chorégraphe. En effet, il a reçu un cadeau formidable : assurer la pérennité du Béjart Ballet de Lausanne et relever le défi démesuré de créer de nouvelles pièces dans un esprit de filiation, et, en même temps, dans un esprit de renouveau lié à sa personnalité intime.

Je ne suis nullement inquiète car ce qui m'a frappé, à la suite de la projection et pendant la rencontre avec le danseur-chorégraphe et la réalisatrice, c'est la confiance sans mesure que Maurice Béjart avait en lui que "nul autre que Gil Roman" ne pouvait mieux reprendre le flambeau, mais aussi l'humilité profonde et sans fard de Gil Roman qui s'est lui-même qualifié d' "apprenti-chorégraphe". Il dit :"On apprend ensemble, avec mes danseurs... J'ai fait une promesse à Maurice."
Durant le film, on sent palpable l'omniprésence de Maurice Béjart chez chaque danseur, danseuse, son imprégnation dans leur coeur et leur corps, dans leur lieu de travail. Partout Maurice se respire. On saisit, grâce à Arantxa Aguirre, l'insécurité de Gil Roman et la flamme de Béjart qui brûle en lui. On reconnaît en lui la même intensité dans la transmission de son nouveau ballet "Aria" et la même précision dans les répétitions, la recherche de la justesse des gestes en connivence avec les danseurs qui, eux-mêmes, se sentent investis d'une mission : poursuivre l'oeuvre de Béjart et soutenir Gil Roman dans son nouveau rôle. C'est une nouvelle étape pour le Béjart Ballet de Lausanne, Maurice Béjart lui a conseillé de "ne pas penser au passé, mais d'aller de l'avant" et c'est ce qu'il s'applique à mettre en pratique avec passion.
Ce film, merveilleusement monté, est le préambule de cette renaissance et celle-ci s'annonce flamboyante.

Alors ne ratez pas cette perle : le film sera dans les salles de cinéma à partir du 19 janvier 2011 et les 10 premiers lecteurs de cet article sur notre blog à nous envoyer un mail à mouvancedarts@yahoo.fr avec leur nom et adresse recevront une place pour une séance offerte par notre partenaire Eurozoom pour l'une des salles parisiennes (Surveillez Allo Ciné pour connaître les salles où "Après Béjart sera projeté). N'hésitez pas également à faire circuler l'information auprès de vos proches.

Quelques citations :
"Il m'a fallu des années pour sortir cet artiste incomparable qu'est Gil Roman du maquis mental où il s'enfermait avec fantasmes, ses amours et ses complexes ! A trois reprises, j'ai dû le mettre à la porte de la compagnie . trois fois en huit ans, et je l'ai repris chaque fois au bout de quelques semaines. Lentement, j'ai compris ses qualités, j'ai réalisé combien il était proche de moi. (...) Je ne vois que lui pour continuer, préserver, posséder mon oeuvre et mes ballets. Nul autre. Ce ballet lui appartient." Maurice Béjart - 29 décembre 2006.
"Maurice, il est en moi. Je suis arrivé à la compagnie comme un enfant. Il m'a tout donné. Je l'ai choisi comme maître. Je l'ai aimé, il m'a aimé. Il m'a développé comme danseur. Je lui dois tout. Et ce qui me semble aujourd'hui le plus important, c'est qu'il m'a toujours dit : "Ne te retourne pas sur le passé. Quoiqu'il se passe, avance !"."
Gil Roman
"Que notre avenir soir tourné vers la création et la conquête d'horizons nouveaux." Maurice Béjart

Le Béjart Ballet Lausanne sera en tournée de février à avril 2011 avec "Aria" et "Dionysos" :
- 8 et 9 février à Béziers
- 30 mars à Rouen : Zénith
- 1er avril à Clermont Ferrand : Zénith
- 5 avril à Nantes : Zénith
- 7 avril à Orléans : Zénith
- 10 avril à St Etienne - Zénith
- 12 avril à Marseille : Le Dôme
- 14 avril à Toulouse : Zénith
On s'étonne que le Béjart Ballet Lausanne ne soit pas déjà programmé à Paris !
Ce ne sont pas les salles qui manquent, nous attendons donc rapidemment une excellente nouvelle pour que la capitale et ses habitants puissent rendre un hommage vivant à cette compagnie qui va encore rayonner longtemps. C'est ce que je lui souhaite du fond de mon coeur ainsi qu'à Gil Roman devant qui je m'incline, impressionnée par l'être humain, sa simplicité et ses valeurs, autant que devant le danseur qui reprendra "Faust" en 2012 et le chorégraphe en devenir.
Un énorme merci à Arantxa Aguirre pour son oeuvre filmée qui est ce qu'elle a voulu qu'elle soit : une lettre d'amour.
Valérie Gros-Dubois
Directrice artistique d' "Entrez dans la danse"











Faits d'hiver danses d'auteur 2010

Faits d'hiver est le festival Parisien de danse contemporaine qui permet de bien commencer l'année. Au moment où les températures invitent à rester chez soi et les tragédies inondent les écrans, c'est une respiration et un moment de rencontre presque intime avec la danse, auxquels ce festival vous invite pour sa 12ème édition du 12 janvier au 5 février. Quinze chorégraphes sont invités à présenter leur oeuvre : Philippe Ménard, Eléonore Didier, Herman Diephuis, Les gens d’Uterpan, Félix Ruckert, Serge Ricci, Fabrice Ramalingom, Sylvain Pruenec, Thierry Baë, Pascal Allio, Raphaël Cattin, Nicolas Maloufi, Mille Plateux associés, Gaël Sesboué, et Viviana Main.

Diversité des thèmes abordés et large palette d'univers chorégraphiques pour ce festival dont les représentations ont lieu dans 7 lieux de diffusion dans Paris et sa proche banlieue :
Théâtre Paris-Villette, Mains d'oeuvres, Théâtre Silvia Monfort, Théâtre de la Cité internationale, L'étoile du nord, Auditorium Saint-Germain (MPAA), Micadanses.

Avec sept créations, Faits d'hiver s'installe comme un lieu privilégié de présentation de la danse d'auteur et vous donnera l'occasion de découvertes chorégraphiques en avant première : Show Time de Philippe Ménard, ! Kung solo d'Eléonore Didier, Nocturne démocratie des Gens d'Uterpan, L'interprète ou témoin de l'intime de Pascal Allio, Sei solo de Raphaël Cottin, Pièces démontées de Mille plateaux associés.

Tarifs : De 5 à 21 euros

Une présentation de Faits D'hiver (crédit video Jérome Cassou) avec une interview de Christophe Martin, le directeur artistique.



Voir le site de Faits d'hiver danses d'auteurs

Hommage à Michael Jackson, roi de de la danse

L'artiste américain Michael Jackson surnommé roi de la pop est décédé. Figure emblématique de la pop culture, la star planétaire, idole des années 80 ne s'est jamais remis des différentes controverses concernant sa vie privée.

Enfant prodige, son succès s'appuiera dés ses débuts sur une virtuosité chorégraphique hors pair. Empruntant ses influences notamment au hip hop, à la danse disco et jazz, il inventera un style en tous reconnaissable qui servira de composition chorégraphique à ses vidéos et ses apparitions scéniques. Influençant durablement une génération de chorégraphes et de danseurs, ses quelques vidéos rendent hommage au talent du roi de la danse.



Michael Jackson danseur virtuose






Compilation de mouvements dansés

Et vous, quelle chorégraphie de Michael Jackson vous a marqué ?

Ballet Blanche Neige d'Angelin Preljocaj

Reportage de Cap24 sur Blanche Neige  :
  • Prochaines dates de la tournée en janvier 2009
  • Du mercredi 07 au vendredi 09 : Grenoble - MC2 :
  • Jeudi 15 et vendredi 16 :  Dijon - Opéra de Dijon
  • Mardi 20 et mercredi 21 : Annecy - Bonlieu scène nationale
  • Samedi 24 et dimanche 25 : Valence - La Comédie de Valence, Centre Dramatique National Drôme Ardèche
  • Du mercredi 28 au samedi 31 : Créteil - Maison des Arts et de la Culture
  • Voir aussi la présentation du Ballet Blanche Neige

Reportage de Cap 24 Sur Entrez dans la Danse



- Pour suivre nos articles et rester informés, abonnez-vous à nos flux RSS :
AddThis Feed Button

La danse éléctro à la Fête de la danse


Découvrez ce montage vidéo réalisé par Radio FG sur le battle électro du 1er juin, lors du festival Entrez dans la Danse. Nous avons fait le pari de mettre en avant cette forme de danse afin de mieux la faire connaître.

A la rencontre de Denis Robert

Ils représentent le tissu de la danse en France : danseurs célèbres ou illustres inconnus, nous allons les interviewer et faire leur connaissance. Commençons par Denis Robert son nom ne vous dit peut-être  rien... encore, nous vous proposons donc sa rencontre virtuelle :

Super video


(crédit  www.xlproduction.net vidéo de Maria Clara Villa Lobos - Super project - un monde otout est super, y a t il encore la place pour des super heros, qui sont ils? et vous?)

Pour   faire sa connaissance un peu  plus amplement,  découvrez cette interview réalisée en octobre 2008 :


Merci M. Guy Darmet

Alors que Guy Darmet propose une 13ème édition de la Biennale de la Danse de Lyon en forme de bilan et de retour en avant, on tient à saluer la foi d'un homme tenace qui a su convaincre les acteurs chorégraphiques, culturels, politiques et économiques pour un  projet qui s'est imposé comme une référence de qualité tout en bénéficiant d'un succès populaire jamais démenti et dépassant les frontières du public captif habituel des spectacles chorégraphiques. Une ouverture sur l'international, une grande variété de styles représentés, un ancrage local fort, la participation des habitants, la mise en réseau des ressources des structures partenaires, la programmation  et l'accompagnement des compagnies régionales, une médiatisation réussie et la valorisation de l'image de la ville hôte : Que demander de plus ? Bien sûr on peut  critiquer  des choix artistiques, mais ceux-ci sont sont cohérents et assumés et reflètent à l'évidence le choix d'un homme qui aime la "Danse dansée" En tant qu'organisateur d'un festival qui veut promouvoir une Fête de la Danse, nous tenons tout simplement à saluer l'oeuvre de M. Darmet.
David Chanrion
Arte Vidéo proposé une interview de Guy Darmet : 

La Biennale de la Danse de Lyon sur Arte

Ce jeudi soir, Arte consacrait une soirée à La Biennale de Danse de Lyon avec spectacles en direct à la télé et sur le web. Alors que la chaîne franco-allemande vient de redessiner son identité visuelle afin d'attirer une cible plus jeune saluons le suivi et l'écho qu'Arte donne à l'événement et donc à la Danse .

Retrouvez ci- aprés la présentation d'Arte Video : PRÉSENTATION DE LA BIENNALE
Lyon (6 – 30 septembre)

www.biennale-de-lyon.org





La tango fait son show


Le show musical argentin  Tanguera poursuit son parcours international pour atteindre Paris en septembre.
Tanguera raconte l'aventure de Giselle, qui émigre de France en Argentine au début du 20e siècle. En alliant la beauté et la sensualité du tango à une intrigue socio-historique, le spectacle est un témoignage de l'art de la séduction d’Amérique latine.  Tanguera est chorégraphié par la célèbre étoile du tango Mora Godoy et une troupe de 30 danseuses et danseurs.


Tanguera, mis en scène par Omar Pacheco et chorégraphié par Mora Godoy.
Théâtre du Châtelet, place du Châtelet, Paris-4e. Mo Châtelet.
Tél. : 01-40-28-28-40. Du 2 au 21 septembre. A 20 heures ; samedi, à 15 heures. De 10 € à 78 €.
Découvrez des extraits .. de Tanguera

Découvrez Glow de Chunky Move

Quelques minutes pour découvrir Chunky Move chorégraphiée par Gideon Obarzanek, une chorégraphie d'ombre et de lumière... Pour en savoir plus sur cette compagnie australienne

Pour ceux qui parlent l'anglais, cette note introductrice sur cette oeuvre innovante éclairera sa compréhension .. : "Glow is an illuminating choreographic essay by Artistic Director Gideon Obarzanek and interactive software creator Frieder Weiss. Beneath the glow of a sophisticated video tracking system, a lone organic being mutates in and out of human form into unfamiliar, sensual and grotesque creature states. Utilising the latest in interactive video technologies a digital landscape is generated in real time in response to the dancer’s movement. The body’s gestures are extended by and in turn manipulate the video world that surrounds it, rendering no two performances exactly the same.

 
In Glow, light and moving graphics are not pre-rendered video playback but rather images constantly generated by various algorithms responding to movement. In most conventional works employing projection lighting, the dancer’s position and timing have to be completely fixed to the space and timeline of the video playback. Their role is reduced to the difficult chore of making every performance an exact facsimile of the original. In Glow, the machine sees the performer and responds to their actions, unlocking them from a relationship of restriction and tedium"



Robert Muraine : Leçon de popping

Robert Muraine a impressionné  le jury de l'émission "So  you can danse" avec une démonstration de popping stupéfiante. Cette danse debout,  issue du hiphop s'inspire du style robotique. La séquence filmée montre une audition télévisée.




Voir aussi :
- Le livre de l'histoire de la danse hip hop
- Le festival de Hip Hop H20

Danse avec ... Madonna


Alors que Madonna vient tout juste de célébrer ses 50 années et que sa nouvelle tournée mondiale d’une cinquantaine de dates Sticky & Sweet Tour proposera un voyage «influencé par le rock et fabuleusement dansant» il n’est pas inutile de rapeller le rapport particulier que Madonna entretient avec la danse.

De tous les rôles que Madonna aura endossés, chanteuse, musicienne, actrice, réalisatrice, productrice cinématographique et artistique et femme d'affaire celle de danseuse s’impose avec évidence comme une identité profonde qui marquera son style.
Ses concerts sont « une représentation théâtrale de ma musique » selon Madonna. Un théâtre mêlant les thèmes du travestissement, de la femme dominatrice et séductrice, les références au 7ème art à la spiritualité et au catholicisme et liés par des chorégraphies mêlant influence jazz, hip hop, danses urbaines, disco, house, et le music hall. Lors d'une représentation à MCM TV , elle propose une chorégraphie de VINCENT PATERSON inspirée par l'univers de Marie Antoinette. Les paroles de Vogue témoigent justement de sa passion pour la danse des dancefloor.. :


Vogue"


Strike a pose
Strike a pose
Vogue, vogue, vogue
Vogue, vogue, vogue
Look around everywhere you turn is heartache
It's everywhere that you go (look around)
You try everything you can to escape
The pain of life that you know (life that you know)
When all else fails and you long to be
Something better than you are today
I know a place where you can get away
It's called a dance floor, and here's what it's for, so


[Chorus:]
Come on, vogue
Let your body move to the music (move to the music)
Hey, hey, hey
Come on, vogue
Let your body go with the flow (go with the flow)
You know you can do it
All you need is your own imagination
So use it that's what it's for (that's what it's for)
Go inside, for your finest inspiration
Your dreams will open the door (open up the door)


It makes no difference if you're black or white
If you're a boy or a girl
If the music's pumping it will give you new life
You're a superstar, yes, that's what you are, you know it
[chorus, substituting "groove" for "move"]
Beauty's where you find it
Not just where you bump and grind it
Soul is in the musical
That's where I feel so beautiful
Magical, life's a ball
So get up on the dance floor
[chorus]
Vogue, (Vogue)
Beauty's where you find it (move to the music)
Vogue, (Vogue)
Beauty's where you find it (go with the flow)
Greta Garbo, and Monroe
Deitrich and DiMaggio
Marlon Brando, Jimmy Dean
On the cover of a magazine
Grace Kelly; Harlow, Jean
Picture of a beauty queen
Gene Kelly, Fred Astaire
Ginger Rodgers, dance on air
They had style, they had grace
Rita Hayworth gave good face
Lauren, Katherine, Lana too
Bette Davis, we love you
Ladies with an attitude
Fellows that were in the mood
Don't just stand there, let's get to it
Strike a pose, there's nothing to it
Vogue, vogue


Oooh, you've got to
Let your body move to the music
Oooh, you've got to just
Let your body go with the flow
Oooh, you've got to
Vogue


L’appel de la danse.
Alors que son père l’incite à prendre des cours de piano, elle le convainc de prendre des cours de ballet à la place. Malgré d’excellents résultats, elle quitta l'université, suscitant la frustration de son père et décida de lui couper toute ressource financière. En juillet 1978, elle débarque à New York avec 35 dollars en poche et se rend au quartier des théâtres à Times Square en espérant y trouver le succès. Elle quitta le Michigan et s'installa à New York en rêvant de devenir danseuse. Enchaînant différents petits boulots , elle part ensuite à Durham pour décrocher une audition et suivre les cours de danse de Martha Graham et Alvin Ailey  au American Dance Center de New York et finalement avec Pearl Lang.
Elle enchaîne les petits rôles mais lassée de ses relations tumultueuses avec Lang, Madonna laisse de côté sa carrière de danseuse pour faire de la musique.  De 79 à 81 elle fera partie de plusieurs groupes plutôt rock, mais alors que le talent de Madonna se révèle sur scène, elle va commencer à jouer dans des clubs. Un organisateur de concerts convainc un producteur de miser sur elle. Mais, frustrée par l'inefficacité de son entourage, Madonna déchante, elle veut faire de la musique "Funk" et retourne voir un vieil ami Stephen Bray avec qui elle va enregistrer plusieurs titres inspirés de la rue dont "Everybody » que Madonna tente de faire jouer au club new-yorkais la Danceteria. Remarqué par le DJ de la discothèque, elle signe alors en 82 un contrat avec la maison de disque Dire Records son premier 45 tours, Everybody, qui connaîtra un certain succès aux Etas Unis en 83. Mais c’est en 84 que son deuxième album la fait connaître à l'échelle internationale. Like a Virgin se vend à plus 21 millions d'exemplaires dans le monde.
La reine des dance floors
Madonna restera fidèle au son clubbing et fera appel aux DJ et remixer influents du moment , lui permettant d’être en permanence à la pointe musicalement. 39 de ses titres ont été classés n°1 du billboard dance aux Etas Unis. Madonna est probablement l’une des artistes la plus jouée dans les clubs. Dans sa tournée Confession Tour sur le passage Hung Up, on la voit interpréter une chorégraphie de Jamie King avec des clins d'oeil à "la fièvre du samedi soir", aux danses hiphop avec  influence krump et même aux Yamakasis.
David Chanrion

La danse en prison.....

Une prison des Phillipines apellée CPDRC (Cebu Provincial Detention and Rehabilitation Center) a lancé un programme de performance chorégraphique pour ses détenus à l'occasion d'une célébration de la province.

Ne tarissant pas d'éloges sur les bienfaits de l'initiative (c'est bon pour le moral des prisonniers et leurs relations avec le personnel de la prison) ce programme pourrait s'étendre à d'autres établissements. Source en anglais


Thriller dansé par 1500 prisonniers d'une prison !